Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale (40) : «Néférou »
Datte: 31/10/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... délicate dilatée par la bite noire et large. Pour finir, elle s'agenouille sur Taharqa et s'empale de nouveau, le fait jouir, assise sur lui, sa queue vibrante dans son intimité, libérant le foutre.
Grâce à sa longue expérience, cette séance extrême n’a pas mutilé Tullia, comme l’espéraient ses rivales, mais l’a tout de même contrainte à un repos forcé de plusieurs semaines, pour que sa chatte pilonnée par ce véritable monstre cesse d’être sensible.
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Tullia a, pendant ces trois ans, l’impression de revivre, durablement, le plaisir infini qu’elle avait connu avec l’équipage de l’Horus, lors de son voyage en 65 entre Putéoli et Alexandre (voir chapitre 37 « Terreur et exil »), à la différence près que le nombre de « séances » lui parait insuffisant, puisque rares, chères et réservées à des initiés.
Le clergé d’Isis ne s’attendait pas à cela. Le succès de « Néférou » provoque le mécontentement des autres prostituées sacrées, car c’est Néférou que les « pèlerins » réclament. A aucun moment, ces femmes ne réaliseront que celle qui vient ainsi perturber leur fonctionnement est une Romaine. Maîtrisant parfaitement l’Egyptien, Tullia, devenue Néférou, a toute l’apparence d’une Egyptienne.
C’est l’appât du gain qui va l’emporter : Onouris et ses collègues décident que plus d’adeptes sont autorisées à rencontrer Néférou, rompant ainsi avec une pratique séculaire et transformant le temple d’Isis en lieu de débauche, sinon en lupanar.
Les prêtres d’Isis vont ...
... aussi devoir veiller à la sécurité de Tullia et faire face à des tentatives d’agression de la part de certaines des autres prostituées du temple d’Akhmîn. Les choses iront même plus loin, avec une tentative d’enlèvement organisée en liaison avec des nomades nubiens et la complicité de certaines des prostituées. C’est ainsi que le scénario inventé par Onouris, faire disparaitre Tullia, a bien failli se réaliser. Les coupables furent chassées du temple et livrées à la justice romaine. Elles finirent dans les bordels d’Alexandrie.
Tullia, à la fin de la journée, pense à Messaline, qui aurait aimé partager son sort. Elle n’est pas devenue une prostibulae des bouges de Suburre, ce n’est pas non plus le lupanar sordide de Quintus et de Rufina, où elle avait été pour une nuit Danaé (voir chapitre 14). Ici, ceux qui l’honorent sont des privilégiés. Elle prend tout son temps et ne les laisse repartir que quand elle sait qu’elle les a épuisés. Ces hommes qui repartent convaincus d’avoir fait l’amour avec une déesse, sont heureux. Elle les a laissés profiter de chacun des orifices que la nature lui a accordés. Elle a la réputation de sucer mieux que « bouche d’or », la reine Cléopâtre. Même sa poitrine opulente, avec des seins plus volumineux que les standards de beauté en Egypte, comme à Rome, attirent, Tullia pratiquant ce que nous appellerions aujourd’hui la « branlette espagnole » ou la « cravate de notaire ».
Tullia va, sans le vouloir, provoquer la ruine d’un riche notable de ...