1. Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale (40) : «Néférou »


    Datte: 31/10/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... longues minutes, sa langue et ses doigts diaboliques affolent les sens de son amante, s’occupant de son clitoris et de sa chatte. Bérénice est au Paradis : plus de trois ans qu’elle attend ça. Sa main caresse les cheveux de Tullia, puis maintient sa tête contre son pubis. Si elle pouvait, elle l’enfoncerait en elle.
    
    Bérénice délire :
    
    • Oh mon amour, tu es divine. Tu me rends folle ! N’arrête surtout pas !
    
    Tullia n’a pas l’intention d’en rester là. Elle continue, alors même qu’elle manque d’air. Son objectif est de faire jouir la belle Bérénice.
    
    Des spasmes violents traversent le ventre de Bérénice. Les muscles de sa vulve se contractent brusquement. Elle jouit comme une folle sous les assauts de Tullia. Bérénice expulse de sa chatte un liquide gras et visqueux, que Tullia boit amoureusement et qui vient maculer son beau visage. Pleine des sécrétions de Bérénice, Tullia vient l’embrasser fougueusement. Elle n’en n’a pas fini avec son amante, d’autant qu’elle n’a pas encore joui.
    
    Tullia prend alors l’olisbos et s’enfonce un côté le plus profondément possible. Bérénice est impressionnée par ce que Tullia est capable de se prendre, au plus profond de son vagin. Tullia lubrifie soigneusement l’autre côté de l’olisbos et l’enfonce dans la chatte de son amante. Pendant de longues minutes, Tullia se baise et baise Bérénice. Tullia a mis les jambes de Bérénice sur ses épaules, pour pouvoir lui enfoncer le gode le plus loin possible. Les deux femmes sont face à face, ...
    ... les yeux dans les yeux, se couvrant de baisers, leurs langues se mélangeant, leurs tétons en érection se frottant. Elles crient leur plaisir et leur amour, jusqu’au moment où un orgasme puissant les submerge.
    
    Bérénice, heureuse, se serre dans les bras de sa femme. Tullia sait le pouvoir qu’elle a sur la reine. Elle se lève et fait entrer le garde qui est devant leur porte et qui n’a rien perdu de leurs cris de plaisir.
    
    • Viens légionnaire, entre !
    
    Le soldat est fasciné par ces deux jolies femmes nues. Tullia met sa main sous sa tunique et commence à le branler et à le déshabiller. Tullia se met à genoux pour sucer le légionnaire, puis s’interrompt :
    
    • Elle te plait, ma femme ?
    
    • Elle est très belle et toi tu suces si bien !
    
    • J’ai envie que tu la baises devant moi !
    
    • Mais chérie, que fais-tu ?
    
    • Tu as bien dit que tu étais à moi, Bérénice ? Alors j’ai envie que ce type te baise ! Vas-y-toi, qu’est-ce que tu attends ? Prends-la et remplis-la !
    
    Bérénice se soumet à la volonté de Tullia. Le légionnaire la possède devant Tullia. Bérénice jouit de ses assauts, mais surtout parce ce que sa chérie est présente et l’encourage, se caresse et finit par s’approcher pour lui prendre la main et l’embrasser au moment ultime.
    
    Bérénice a franchi un nouveau pas. Au cours de cet hiver à Alexandrie, les amantes vont fréquenter assidûment la bibliothèque d’Alexandrie, s’aimer aussi souvent que possible. Et Tullia prendra un immense plaisir à offrir son amante à ...