1. Jeudi - jour de repos


    Datte: 31/10/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Maceran, Source: Hds

    ... ses cuisses s’étaient refermées sur ma main, les doigts encore dans son fourreau chaud qui pouvaient encore s’agiter et la faire jouir. Enfin elle se laissa aller et je pus me dégager. Se cramponnant à la table elle se redressa, les yeux pas encore bien en face des trous et me disant : « Donnes-moi ta main, … » Je lui tendis et elle la porta à son nez la sentant, semble-t-il, avec un certain plaisir pour ensuite lécher les doigts qui l’avaient pénétré. Cette dégustation terminée, elle se laissa glisser à terre et en s’accroupissant descendit pantalon et caleçon en disant : « A moi, maintenant, … je veux te sucer, … depuis le temps que j’y pense, … je veux que tu prennes ma bouche, … je te l’offre, … ». Rapidement ses doigts me caressèrent, puis sa bouche prit possession de mon gland pour le sucer, le lécher pour enfin prendre entièrement ma queue et commencer à me pomper avec énergie. Il ne lui fallut pas longtemps pour que je sente que la pression augmentait et que j’allais ne plus pouvoir me retenir et je le prévins, mais rien n’y fit, elle continua avec plus d’énergie et je me vidais dans sa bouche en deux bonnes giclées. Quand elle me lâcha tout avait été avalé et elle se relevait, se collant contre moi : « J’ai aimé te donner ma bouche, … ça t’a donné du plaisir, … dis-moi est-ce que j’ai bien fait, … »
    
    Moi : « Tu es adorable, … j’ai aimé, … la prochaine fois, … il faudra que pendant que tu t’occupes de moi, … tu devrais te caresser, … on pourrais jouir en même ...
    ... temps, … »
    
    Viviane : « tu es complètement fou, … il faut finir, … » et réajustant sa jupe, elle se fit remonter par le monte-charge. Et on finit le travail. Je remontais et Odile nous fit remarquer que l’on avait mis du temps. Je touchais mon dû et me retournant vers Viviane : « La dernière vous avez payé le café, … à mon tour, … je vous offre le café et vous Odile, … » « Oui, merci, … avec plaisir, … »
    
    Viviane et moi nous nous rendîmes sur la terrasse du café à quelques mètres du magasin et je dirigeais Viviane, vers un coin de la terrasse tranquille, discret et surtout à l’abri des regards. Je commandais les cafés, en portait un à Odile et revenait. C’est alors que je demandais à Viviane : « C’est quoi la surprise ? »
    
    Viviane : « Mon mari prend le train dimanche, avec les délégués pour Paris pour une réunion syndicale, … si tu es libre, … tu pourrais venir me voir, … »
    
    Moi : « Le rêve, … avec plaisir, … à quelle heure, … »
    
    Vivianne : « Vers 1,00 heure, … je serais certaine qu’il sera parti, … par sécurité je mettrais un torchon blanc à la fenêtre, … »
    
    Moi : « Formidable, … j’apporte quelque chose pour déjeuner, … »
    
    Viviane : « Non, je t’invite, … »
    
    Moi, lui posant la main sur la cuisse : « Tu sais ce que j’aimerais, … »
    
    Viviane : « Non, … dis-moi, … »
    
    Moi : « Que tu viennes m’ouvrir la porte vêtue de cette chemisette noire qu’on a vue, tu sais celle qui ne cache rien … avec des bas et tes escarpins, … »
    
    Viviane : « Tu es vraiment fou, … cette ...
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