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La maître-nageuse
Datte: 30/10/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: prtxd, Source: Hds
... face. Je ralentis légèrement pour profiter un maximum du moment. J’arrive enfin à distinguer les trais de son visage, elle est vraiment très mignonne malgré l’effort. Je découvre la courbe de ses seins fermement maintenue par sa brassière. Ses tétons son tendu, la forme du tissu laisse deviner un piercing sur celui de droite. Sous la brassière, son ventre est nu. Ses muscles et la sueur qui coule le long de son nombril créent une image d’une extrême sensualité. Je jette un œil rapide plus bas pour essayer d’identifier le renflement de son pubis. Elle arrive à mon niveau, nous échangeons un sourire et un bonjour de complicité sportive. Fin de l’histoire. Je rentre au parking avec quelques fantasmes en tête mais sans rien de concret. J’attrape mon sac de piscine dans le coffre de ma voiture, rien de mieux après une bonne séance de footing que quelques longueurs de piscine et un petit sauna pour se détendre. Je rentre dans la zone de vestiaire mixte et me glisse dans la première cabine libre. Je tourne le loquet dont le jeu, provoqué par les nombreuses manipulations quotidiennes, assure à la porte une fermeture toute relative. Je pose mon sac et commence par retirer mon short. Comme à l’accoutumée, je constate que l’effort que je viens de produire lors de mon footing a eu un effet dévastateur sur la taille de mon sexe. J’ai beau le savoir, ça m’impressionne toujours moi-même. La combinaison de l’activité physique intense et la compression du tissu synthétique de ...
... mon short a entraîné une réduction spectaculaire de mon appareil génital. A ce moment, j’ai entre les jambes un petit morceau de peau flasque et bleui de 2-3 cm. Heureusement qu’à chaque fois ça ne dure pas. J’essaye ensuite d’enlever mon t-shirt trempé de sueur. Il me colle au dos, je me retrouve la tête coincée dans le tissu que je n’arrive pas à faire glisser plus haut pour le retirer complètement. Je ne vois plus rien, les bras en l’aire, je me débat ridiculement pour me séparer de cette cagoule de malheur. Je heurte la porte puis la cloison avant de reculer pour me caler au fond de la cabine pour éviter en plus de tomber. J’entends un groupe de gamines entrer dans le vestiaire. Ça ricane, ça parle fort, j’espère qu’elles ne vont pas monopoliser les lignes d’eau et que je vais pouvoir nager tranquillement. Encore faut-il que j’arrive à terminer de me changer. J’entends glousser juste derrière ma porte. Au moment où j’arrive enfin à sortir de mon t-shirt, mon cœur s’accélère en découvrant que ma porte est ouverte. Mes yeux se posent sur un smartphone de couleur rose couvert de strass dont l’objectif me fixe. Il est tenu par deux petites ados hilares, le regard fixé sur l’écran. Je cache instinctivement mon sexe avec mon t-shirt et saisie de l’autre main le smartphone que sa propriétaire ne veut pas lâcher. Je lui ordonne de me le donner. Elle se débat et commence à crier à son tour. Une jeune femme, qui doit être maître-nageuse si j’en crois son mini short ...