1. Joyeux anniversaire-1/2


    Datte: 30/10/2024, Catégories: fff, jeunes, fête, anniversai, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, jouet, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... pubis tressautant, ignorante ou avide d’éclaboussures sur sa figure. Le corps se détendait et se contractait au rythme des spasmes qui maintenant l’agitaient. La poitrine montait et descendait, laissant échapper des soupirs de plus en plus prononcés.
    
    Sandra sauta – il n’y a pas d’autre mot – à califourchon sur la bouche qui s’ouvrait déjà sur le cri de jouissance. La culotte encore en place dans l’urgence, sa chatte prévint toute expulsion bruyante dans un baiser d’étoffe humide, et le vibromasseur roula, toujours actif, entre les jambes alanguies de Marion. Clara l’attrapa par réflexe pour l’arrêter sans quitter des yeux les dernières palpitations des lourdes lèvres apaisées.
    
    —Mamma mia… souffla-t-elle ahurie. Est-ce que je peux essayer moi aussi ?
    
    Un appel de Chantal trancha la question.
    
    — Les filles ! Le repas est servi !
    — On arrive, M’an, renvoya Sandra à tue-tête avant d’ajouter : désolée, ma chérie, on n’a plus le temps, mais tu peux lécher Marion… Elle adore ça, après !
    
    Sans se presser ni traîner outre mesure, le temps que minette se passe, Sandra se présenta la bouche en cœur pour recevoir les admonestations d’usage.
    
    — Mais enfin ! Où étiez-vous passées ?
    — Je montrais un truc à Clara avec Marion, éluda-t-elle. Elles arrivent.
    
    Elles se présentèrent peu après, en effet, un peu essoufflées et contrites. On les tança gentiment, puis on passa à table, et ce ne furent plus que conversations enjouées où se mêlaient souvenirs échangés, anecdotes ...
    ... rappelées et confidences mutuelles.
    
    La fin du crépuscule avait assombri la terrasse quand vint l’heure du dessert. Babette suggéra innocemment de le prendre à l’intérieur. Marion fit chorus, appuyée par leurs mères. Sur l’instant, aucune des autres convives n’y vit malice. Le fameux cadeau trônait sur la table basse du salon au milieu des coupes de glace et de champagne. Chantal avait résisté à l’envie de percer son mystère durant tout le repas. À la fin, elle n’y tint plus.
    
    — Est-ce que je peux ouvrir votre cadeau, maintenant ?
    — Oui, bien sûr, ma chérie, c’est le moment idéal, l’assura Julia.
    
    Un coffret imitation laqué apparut, qui s’ouvrit sur un superbe martinet enveloppé de papier de soie. Interloquée, Chantal ne put néanmoins s’empêcher de s’en saisir et d’en déployer les longues lanières écarlates au bout d’un manche d’ébène – pour la couleur, en tout cas.
    
    — Mais qu’est-ce que… commença-t-elle.
    — Ben, rouge et noir, l’association m’a plu, minauda Julia.
    — La prof de français qui ressort, s’amusa Brigitte. Mais pourquoi offrir ça, Marraine ? On est grandes, maintenant !
    — Ce n’est pas vous qui en ferez les frais, mes puces, expliqua Christine. C’est Chantal. Elle sait pourquoi.
    
    Manifestement, non, la coupable présumée n’en voyait pas la raison. Ses juges se plurent donc à lui rappeler l’imprudence de l’argument avancé pour se faire pardonner le retard mis à leur raconter l’initiation de Babette et Marion, et pour que nul n’en ignore, elles en brossèrent ...
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