Joyeux anniversaire-1/2
Datte: 30/10/2024,
Catégories:
fff,
jeunes,
fête,
anniversai,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
jouet,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... sortie de voiture. Se fichant des regards bienveillants ou curieux qui les entouraient, elle chercha sa bouche pour un long baiser de lèvres à lèvres et de langue à langue. Elle la pressait et la caressait sans s’en détacher, passant les mains dans son dos, sur ses flancs, ses hanches, sa poitrine, dénouant le paréo pour cajoler les seins, le relevant pour pétrir les fesses, et recommencer.
Chantal se prêtait avec bonheur à ces démonstrations de tendresse, n’empêchant aucun geste et les facilitant de son mieux, sans repousser les doigts qui, à bout d’arguments, glissèrent dans sa chatte.
— Oh, Marraine ! Que je suis heureuse ! Tu m’aimes toujours autant ! Tu es toute mouillée ! Hummm ! Je sens ton odeur, je retrouve ton goût ! Tu te souviens du mien ?
Au milieu du cercle de femmes amusées et attendries, la coquine, qui n’avait pas revu l’objet de sa passion depuis, oh, au moins un mois, farfouillait sous son short tout en suçant ses doigts parfumés.
Son autre main enfin barbouillée de sa propre mouille aux fragrances alourdies par le voyage, elle la tendit à Chantal qui la huma et la lécha en souriant.
— Oui, ma puce, oui, Marion chérie, moi aussi je suis contente de te revoir.
Ces touchantes effusions terminées, Julia put à son tour embrasser et caresser son amie, ce qu’elle attendait, elle, depuis plus d’un semestre. Les échanges épistolaires n’ont pas la même saveur, quoi qu’on dise ! Son surcroît de patience sur l’instant lui avait cependant permis ...
... de faire la connaissance de Laurence et Clara, d’approfondir celle de Charlotte et d’Agnès, et de renouer chaleureusement avec ses trois filleules, Babette, Brigitte et Sandra.
Cette dernière fut d’ailleurs aussi démonstrative que son amie d’enfance à l’égard de celle qu’elle appelait Marraine depuis quinze ans. La seule différence fut que, si ses câlins à elle s’achevèrent aussi entre les cuisses, ils n’allèrent pas jusqu’à trifouiller sous les dentelles, sans doute parce que Chantal les abrégea. À son cœur défendant, elle invita les retardataires à s’accorder au plus tôt les bienfaits d’une douche réparatrice.
Elles se lavèrent ensemble, pour gagner du temps, certes, mais on ne les laissa guère seules. Ce n’était qu’entrées et sorties dans la salle de bain. Les unes pour s’assurer qu’il ne leur manquait rien (« gant, savon, shampoing, serviette, sèche-cheveux ? »), les autres pour les raisons les plus diverses : Laurence pour se rafraîchir la chatte sur le bidet, Agnès ou Clara pour prendre un poudrier, un crayon à paupières, voire un rouge à lèvres, réclamé d’urgence par Sandra ou Babette.
Julia et Marion, amusées du manège, dédaignèrent de passer un quelconque peignoir pour aller retrouver, l’une, ses amies qui s’habillaient pour le soir dans la chambre de Chantal, l’autre, ses copines qui faisaient de même en chahutant dans la chambre d’à côté.
Il faut reconnaître que chacune, dame ou damoiselle, fit assaut d’élégance en l’honneur de leur hôtesse. Les robes ...