Mal aimée
Datte: 28/10/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: MG8895, Source: Hds
Robert, 50 ans, est un agriculteur du Grand-Est, pacsé depuis 15 ans à Lydie, 40 ans, femme au foyer, sans enfant. Ils se sont connus sur un site de rencontre ; lui célibataire et elle divorcée d’un mari violent et alcoolique.
Robert est très occupé à sauvegarder sa ferme, bétail, fourrage, moissons, enfin toutes les tâches inhérentes à une exploitation agricole.
Lydie gère son ménage, les tâches ménagères, les animaux domestiques, elle s’occupe également et sporadiquement de ses Beaux-parents âgés, lorsque c’est nécessaire. Elle ne s’ennuie pas, elle est aux petits soins pour son mari, les repas sont prêts quand il rentre de son travail ; dont l’amplitude horaire est grande, levé à 06h00 et couché à 23h00, avec une petite pause méridienne d’une heure.
Les loisirs sont inexistants, les distractions très rares, seules quelques invitations familiales et la télévision. Robert se couche très tôt pour assurer ses longues journées. Ce couple va rarement se coucher ensemble. Lydie fait la comptabilité de l’exploitation, gère les commandes nécessaires et lorsqu’il lui reste du temps, elle aime s’évader sur le net.
Il faut reconnaître que les relations amoureuses sont rares et rapides. Robert souvent, trop souvent, ne s’embête pas avec la bagatelle. Lorsqu’il honore Lydie, c’est fugace. Il se lève de table, replie sa serviette, repousse sa chaise et demande à sa compagne :- Tu me rejoins ? ! Sans attendre de réponse, il se dirige vers la chambre à coucher.
Lydie ne ...
... répond même plus. C’est devenu un rituel, elle sait qu’elle va se déshabiller, elle va se coucher sur le dos, Robert va se coucher sur elle, la pénétrer sans préliminaire, il va faire dix allers et retours, rapidement, seulement pour éjaculer, se retirer et se tourner pour dormir. La toilette se fera peut-être le lendemain, s’il a le temps. La stérilité de Lydie, due aux violences passées, a une incidence majeure sur sa vie de couple, pas de descendance, pas de repreneur potentiel pour la ferme, une tragédie dans le monde paysan.
Lydie se lèvera à l’issue de l’acte, passera aux toilettes, elle urinera puis lavera son intimité, frustrée et résignée, comme à chaque rapport. Oh, elle a bien pensé au plaisir solitaire mais on lui a dit que c’était mal. Orpheline très tôt, elle a été élevée par les Sœurs Catholiques qui, lui ont prodigué une éducation inflexible, axée sur le travail et la prière.
Quand les envies apparaissaient, elle serrait très fortement les cuisses, comprimant son clitoris. Les premières fois, ça la calmait et reprenait son travail, oubliant cette flamme qui lui tourmentait les entrailles et lui commandait le désir dans le bas ventre. Parfois en urinant, elle éprouvait un peu de plaisir, son jet sortant du méat chatouillait son clito, mais dès que la miction cessait, ce petit plaisir s’arrêtait et l’envie demeurait. Dès lors, elle prit cette habitude, certes singulière mais visiblement efficace, de serrer les cuisses en se pliant en deux pour arrêter le ...