1. Fille et mère soumises au même Maître


    Datte: 20/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Maitre-Guy, Source: Hds

    ... autorisait mais en revenant j’avais oublié ma solitude. Je me suis en outre aperçue que cet homme, veuf, avait une culture assez exceptionnelle et était curieux de tout.
    
    Il m’a raccompagné jusque dans mon appartement et m’a appris :
    
    — Maintenant, Élodie, je vais te transformer complètement : tu vas passer du statut de petite bourge bien éduquée à celui de soumise à tout ce que je te demanderai !
    
    Je devais avoir l’air ahuri car il m’a dit :
    
    — Oui, je vais m’installer chez toi pour les quinze jours d’absence de ta fille. Tu vas m’appartenir et je vais te marquer avec mon sperme. Mets toi nue.
    
    J’allais protester mais il m’a donné une gifle dont j’ai deviné qu’elle aurait pu être beaucoup plus douloureuse.
    
    — Allez, dépêche toi !
    
    Il m’a fait peur et je lui ai obéi. Je me suis retrouvée nue devant lui et il a profité de mon déshabillage pour se mettre nu, lui aussi.
    
    C’est vrai qu’il était bien conservé, très athlétique, mais ce qui m’a le plus impressionnée ce fut sa bite : très longue, épaisse, elle surmontait deux grosses boules comme je n’en avais jamais vues. Je me suis dit qu’il devait avoir de belles réserves.
    
    Il a ajouté :
    
    — Tu vois que c’était simple. J’espère que ton cul est aussi ouvert que ta chatte, parce que je vais commencer par là. En attendant, allonge-toi sur ton lit et montre moi comment tu te masturbes.
    
    Son ton était aussi impératif que son regard. Je me suis allongée sur le lit et j’ai commencé à me masturber comme je le fais ...
    ... d’habitude. Il me fixait et avait l’air de prendre plaisir à me voir faire.
    
    Alors que j’allais jouir sous son regard, il m’a dit :
    
    — Parfait ! Reste comme ça et ouvre moi tes fesses.
    
    Je lui ai obéi aussitôt. Il s’est installé entre mes cuisses et a posé son gros gland sur mon petit trou.
    
    Il a poussé doucement mais fermement, ce qui fait que j’ai bientôt senti des grosses couilles frapper mon entre-jambes, alors que sa bite était entièrement dans mon rectum.
    
    Là, ce fut du délire.
    
    Je n’avais jamais été sodomisée par un aussi gros morceau de chair, je n’avais jamais joui de ce côté là comme j’étais en train de le faire, jamais un homme ne m’avait fait partir comme lui, jamais encore on m’avait pénétré aussi longtemps le rectum.
    
    Notre première union a duré au moins une demi-heure, je n’avais plus conscience du temps pas plus que du nombre d’orgasmes que j’ai connus. Je m’entendais hurler de bonheur, je lui griffais le dos et les fesses pour qu’il s’enfonce encore plus loin en moi, jusqu’au moment où il a éjaculé pendant un temps que j’ai jugé infini, me redonnant un dernier orgasme.
    
    Nous nous sommes assoupis un peu, inconscients l’un près de l’autre.
    
    Je me suis levée parce que je voulais satisfaire un besoin naturel d’uriner et surtout parce que je voulais dire à ma petite Emma ce qu’il venait de m’arriver.
    
    Après un détour par les toilettes, je me suis assise dans la cuisine et je lui ai téléphoné. Je lui ai tout décrit, elle m’a simplement répondu ...