Sof, une sauvage
Datte: 27/10/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: geniez19, Source: Hds
C'est par hasard que j’ai retrouvé Sof à la salle de sport. Nous nous connaissions mais n'avions jamais échangé plus que ça.
Depuis cette rencontre, nous nous envoyons quelques fois des messages. Au fil du temps, ces derniers deviennent de plus en plus réguliers et des sous-entendus commencent à poindre.
Sur un des derniers que je reçois, elle me dit manquer de volonté pour venir à la salle actuellement et qu'il lui faudrait un bon coup de pied au cul pour la motiver voire plus.
Je lui réponds ne pas comprendre ce que signifie ce plus.
La réponse tombe, nette et sans équivoque : Une bonne fessée.
Bouge pas ma belle, si c'est ce que tu veux et aime, je vais te servir. Je continue toutefois à faire le nigaud durant quelques jours de façon à la laisser se dévoiler encore plus.
Elle me dit alors clairement qu'elle aimerait une liaison basée sur le seul plaisir, sans vouloir engager son amant dans sa situation familiale. Sof est maman et entend bien me dit-elle, ne pas mettre de côté sa vie de femme.
Elle me rappelle que je devais lui faire goûter un risotto et qu'elle serait disponible le week end suivant, si ma proposition tenait toujours.
Je lui confirme la validité de ma proposition et l'invite donc.
Le jour venu, Sof arrive et dès son entrée dans le garage, je la plaque au mur et lui croque la bouche. Puisque tu veux quelqu'un qui te domine, tu vas être servie.
Une fois dans la cuisine, je continue à la mordiller tout en lui caressant la ...
... poitrine. Elle me précise alors qu'elle est très sensible des seins et que la moindre caresse peut la faire décoller. Je la travaille alors et l'entends qui commence à geindre. Je ne lâche rien et lui mordille, lui croque et lui tortille les tétons.
Sof se dandine sur la chaise et me dit qu'elle ne va pas résister longtemps à ce traitement. C'est en la tirant par les tétons que je la guide vers la chambre. Elle a du mal à me suivre, tant elle lutte contre le plaisir qui commence à lui attaquer le minou (pour reprendre son expression).
Je la bascule sur le lit, lui enlève son pantalon et lui dis qu'elle doit m'arrêter si par hasard je venais à lui faire mal.
- Bien sûr mais j'adore un peu de force et de violence quand on me baise, je suis prête à beaucoup de choses avec toi et suis à ta merci. Tu peux me fesser, me mordre, me ligoter, rien ne devrait m'effrayer.
- C'est peut-être ce que tu crois.
- J'ai l'impression d'avoir trouvé avec toi celui qui m'amènera vers un plaisir fulgurant et qui saura me faire découvrir de nouvelles limites dans le jeu.
- On verra bien ou plutôt, je verrai bien.
- Pourquoi “je”?
Je sors alors un bandeau et lui approche du visage.
- Rien que ça, ça me fait déjà des choses.
Je lui bande les yeux, et porte ma main vers sa chatte, la passe dans son string et sent son sexe déjà très humide.
- Je vois que madame ne tarde pas.
- Et encore tu n'as rien vu, Avec ce traitement-là, je ne vais bientôt plus répondre de rien.
- ...