L'antiquaire
Datte: 27/10/2024,
Catégories:
fh,
ff,
extracon,
Collègues / Travail
fsoumise,
cérébral,
BDSM / Fétichisme
sm,
portrait,
dominatio,
Auteur: MystereBinR, Source: Revebebe
... compris que le colosse velu et basané serait ravi de lui offrir les étreintes qu’elle espérait de tout son corps. Memeth était un amant vigoureux et endurant dont les attributs virils rivalisaient sans peine avec ceux des « black bulls » dont Solène faisait son ordinaire lorsqu’elle vivait à New York. Et la jolie quadragénaire qui avait renoncé depuis longtemps à tout projet de maternité avait fini par trouver un équilibre satisfaisant entre sa vie mondaine, son activité professionnelle et les fougueux assauts de son amant méditerranéen.
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Pour éviter de se marcher sur les pieds, une fois la période d’apprentissage de Laure terminée, les deux femmes décidèrent d’assurer la permanence au magasin en alternance. Solène officiait les mardis et vendredis. Laure assurait les mercredis et samedis. Et les deux femmes se retrouvaient toutes les deux à la boutique chaque jeudi.
Contrairement à ses craintes, Solène s’entendit tout de suite avec Laure et au bout d’un mois, les deux femmes étaient devenues les meilleures amies du monde. Laure, fine mouche, comprit rapidement la teneur de la relation entre son amie et Memeth, le teinturier. Mais elle ne lui fit aucun reproche, estimant d’une part que ça n’était pas son problème, et d’autre part que le comportement du mari de son associée excusait largement ses infidélités. D’autant plus que la brune volcanique ne lui avait nullement caché qu’elle avait un très gros appétit sexuel et que même si Arnaud avait été un mari ...
... exemplaire, elle aurait sans aucun doute fini par le tromper. Ainsi ne fit-elle aucun mystère à Laure de ses expériences borderline en Amérique et, malgré son éducation plutôt rigoureuse, cette dernière trouva ces confidences fort émoustillantes.
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Les deux femmes avaient donc trouvé un mode de fonctionnement qui les satisfaisait toutes les deux, et Laure s’avéra assez rapidement comme une vendeuse très efficace et pleine d’idées pour exploiter le potentiel commercial de la boutique.
Tout allait donc pour le mieux et cette belle association aurait pu perdurer longtemps si un événement inhabituel n’était pas venu la perturber.
En effet, un couple assez particulier se présenta un mercredi au magasin juste avant l’heure de fermeture. L’homme avait environ la cinquantaine. Grand et élancé, doté d’un regard d’un noir troublant et d’un menton volontaire, recouvert d’un bouc savamment entretenu, il portait un costume trois-pièces et des chaussures de ville faites sur mesure dont la qualité laissait supposer le pouvoir d’achat fort conséquent de leur propriétaire.
Sa femme blond-platine était beaucoup plus jeune. Vêtue de noir des pieds à la tête, elle portait des vêtements certes luxueux mais aussi très suggestifs : chemisier légèrement transparent au décolleté vertigineux sur des seins ronds et siliconés, jupe crayon fendue très haut qui découvrait les genoux et permettait à un œil averti d’admirer le liseré de ses bas-coutures, escarpins noirs à talons aiguille de ...