1. L'antiquaire


    Datte: 27/10/2024, Catégories: fh, ff, extracon, Collègues / Travail fsoumise, cérébral, BDSM / Fétichisme sm, portrait, dominatio, Auteur: MystereBinR, Source: Revebebe

    ... travail sans arborer un élégant porte-jarretelles et des talons d’au moins douze centimètres. Et ceci pour le plus grand plaisir de Martin qui se mit à consacrer un budget non négligeable à la lingerie de son épouse.
    
    En découvrant le nouveau look de Laure, Solène se garda bien de toute remarque trop heureuse de voir son associée mettre enfin en valeur ses charmes tellement tentateurs.
    
    #######
    
    Laure avait roulé plus de trente kilomètres au volant de sa BMW X1 avant d’atteindre le grand portail en fer forgé donnant l’accès à la forêt qui protégeait la résidence bicentenaire de Charles Courson de D.
    
    La belle femme blonde portait une élégante robe portefeuille marron qui découvrait ses genoux, un porte-jarretelles en dentelle marron assorti à ses bas opaques et des escarpins en python à talons de treize centimètres.
    
    Elle avait méticuleusement choisi sa tenue, contenant difficilement son excitation à l’idée de revoir le couple libertin pour leur présenter la parure confiée par Maïté.
    
    La veille au soir, elle avait longuement sucé Martin avachi dans le fauteuil de son bureau puis son mari l’avait forcé à se mettre à quatre pattes sur l’épais tapis avant de la prendre en levrette. Une fois de plus, il avait introduit son index et son majeur dans le fondement avant de saisir fermement ses hanches et de la fouiller sauvagement.
    
    Laure savait que Martin ne rêvait que de déflorer son œillet et elle ne se refuserait pas à son seigneur malgré l’appréhension suscitée ...
    ... par l’épaisseur imposante du dard de son conjoint qui, lorsqu’elle se réveilla à huit heures, avait déjà quitté l’hôtel particulier pour se rendre en Angleterre pendant trois jours.
    
    Quand Laure se présenta à la porte du manoir perdu dans la campagne nantaise, un petit sac en étoffe luxueuse à la main, elle fut accueillie par Romuald, le majordome mulâtre de la vaste propriété. L’homme à la taille nettement au-dessus de la moyenne était certes vêtu d’une veste et d’un gilet de livrée. Mais il était nu de la taille aux chevilles exposant à la visiteuse une magnifique colonne de chair marron clair qui pendait jusqu’au milieu de ses cuisses.
    
    — Bonjour madame L. Je vous souhaite la bienvenue dans la demeure de mon maître. Il vous attend en compagnie de sa compagne ! se contenta de déclarer l’homme à la peau sombre, ignorant l’air effaré de Laure qui hésita quelques secondes avant de suivre le grand mulâtre.
    
    Charles Courson de D., le riche propriétaire des lieux, vêtu d’un élégant costume fait sur mesure comme toutes les pièces de sa garde-robe, défiait Laure du regard, confortablement installé dans un large et profond fauteuil. L’homme avait à la main une laisse reliée à un collier en cuir qui enserrait le cou délicat d’Erika. Celle-ci, qui se tenait debout aux côtés de son maître, portait des bas-fantaisies maintenus autour de ses cuisses par des jarretières grises, des bottines à lacets et sur son buste aux courbes somptueuses, rien d’autre qu’une longue chaîne en or ...