Un matin, aux puces de Clignancourt - Histoires de Sexe

Un matin, aux puces de Clignancourt

Un matin de Juin, je traîne au marché aux puces de Clignancourt, il fait déjà bien chaud, je regarde les fringues, un type m’interpelle et me dit avoir, dans sa boutique, pleins de robes ultra sexy, comme celle que je porte actuellement, c’est-à-dire une vraie mini robe de salope, en lycra ultra moulante qui m’arrive au ras des fesses avec un décolleté bien plongeant. Depuis ma majorité, j’ai pris l’habitude de m’habillée comme une salope pour attirer les hommes à moi, je ne porte même plus de dessous et cela fonction très bien, tous les hommes me tournent autour, la preuve, ce vendeur de fringue n’a pas échappé à mon look. Je le suis à l’intérieur de la boutique, surprise, il y a deux autres hommes à l’intérieur qui déballent des cartons de fringue, deux blacks, des employés de la boutique, après mon entrée, le patron rabat un rideau en tissu sur l’entrée de la boutique, je devine déjà le plan, ça ne loupe pas, je regarde les robes épinglées aux murs, je sens la main du patron sur mes fesses, il me plotes sévèrement, je ne dis rien et le laisse faire, j’aime ce genre de situation.

Positionné devant moi, il m’embrasse à pleine bouche tout en sortant sa queue de son pantalon, les deux employés nous regardent, je sens l’excitation montée en moi, je saisis sa queue à pleine main, elle est déjà bien raide et grosse comme je les aime, je me mets à genoux devant lui et prend sa queue dans ma bouche, il finit d’ôter son pantalon pendant que ma bouche fait des aller et retour tout ...

... le long de sa grosse queue, je l’avale à fond, les deux employés ont eux aussi sortis leurs queues, ils se branlent en nous regardant.

Le patron me prévient aussitôt, après lui, ce sera à leurs tour, je ne bronche pas et continus à le pomper, rien qu’à l’idée, j’en suis toute excitée, ils ont des bites énormes, j’imagine déjà, me faire limer le cul. Agrippée par les cheveux, il me pousse au sol, écarte mes jambes et me pénètre la chatte sans précaution, des aller, retour très brutales, il me baise à fond, je commence à gémir à chaque coup de queue, il me gifle à plusieurs reprises en me disant de fermer ma gueule, c’est plus fort que moi, je suis trop excitée pour ne pas en gémir. Après s’être acharné dans ma chatte qui, maintenant bave de partout, il me retourne, me fait mettre à quatre pattes, je sens un doigt tout froid me pénétrer le cul, il me lubrifie le cul avec du gel intime, voyant la largeur, il y va avec ces cinq doigts en tournant de droite à gauche pour bien lubrifier tous les contours de mon trou.

Il se replace devant moi et replonge sa bite dans ma bouche. Allez-y, défoncés lui le cul, il s’adresse au deux blacks qui bandent comme des malades, l’un d’eux me pénètre directement et me lime le cul immédiatement à fond, je sens ces couilles buter contre mes fesses à chaque va et vient, cette fois si je ne peux retenir mes gémissements, une pluie de gifles me cingle le visage. Tu vas fermer ta gueule sale pute, et encore des gifles, quand un black sort de mon ...