Enquête bretonne 2
Datte: 24/10/2024,
Catégories:
fh,
médical,
amour,
Oral
policier,
Auteur: Volovent, Source: Revebebe
... enlevé. Elle se jette dessus et attaque une lubrification en règle.
— Et ça, elle sait faire Patricia ?
— Euh, oui.
— Salaud ! Aussi bien que moi ?
— Euh, oui, enfin presque…
— Et ça, elle connaît ?
Elle pratique un mouvement tournant avec sa bouche tout en me branlant d’une main et en me caressant les couilles de l’autre, ce qui m’amène au bord de la jouissance.
— Arrête ou je pars ! Tu es la meilleure, la plus belle et la plus salope. Je t’aime ! Il n’y a que toi dans ma vie…
— N’exagère pas, s’il te plaît. Moi j’aime ta queue. Tu veux bien que je la monte ?
— C’est vraiment pour te faire plaisir, parce que sinon…
— Salaud !
Elle cherche toujours à prouver qu’elle est mieux que les autres, dans les études, dans le travail, pour draguer, et là c’est pour me montrer qu’elle baise mieux que Patricia. Alors elle y a mis tout son cœur et il n’a pas fallu bien longtemps, hélas, pour que nous explosions tous les deux. Trop court. Nous sommes restés un bon moment sans bouger, collés l’un à l’autre.
— C’est quand même dommage que nous ne puissions vivre ensemble, parce qu’est-ce que j’aime faire l’amour avec toi ! C’est propre, sain, sans arrière-pensée. Tu as une belle queue et tu m’as toujours fait jouir.
— Tant mieux, mais ce n’était pas facile de s’en rendre compte. On avait l’impression que tu subissais.
— Idiot ! Non, mais tu as une grande qualité, par rapport aux autres, tu cherches à nous faire jouir. Et comme moi je ne suis pas très expressive, ...
... enfin je n’étais pas, tu ne te rendais pas compte que j’avais eu mon plaisir. Alors tu continuais et je me souviens avoir dû simuler une deuxième jouissance pour que tu te décides à tirer le rideau.
— Ah la sa-lo-peu… Attends que je retrouve la chicote.
Nous avons parlé longtemps, je lui caressais le corps, les seins, je lui ai même fait un petit cunnilingus ; et puis elle s’est décidée.
— Jean, je dois te dire ce que j’ai fait, tu l’apprendras de toute façon. Voilà, nous étions à une soirée qui a dégénéré dans le genre partouze et je me suis retrouvée seule. Michel et Clara avaient disparu, chacun de leur côté, remarque. Michel avec Christiane, je pense, mais je ne suis pas sûre. Enfin, elle le collait bien depuis le début de la soirée. Clara était avec ce gros porc de Roland, elle lui a même fait des trucs bien dégoûtants devant tout le monde avant de disparaître. Je ne suis pas restée longtemps seule, un type est venu et m’a proposé la botte. J’ai refusé. Peu après il est revenu avec deux copains et… ils m’ont forcée.
— Tu sais te défendre, pourtant. J’en ai vu quelques-uns repartir vite fait la queue pendante.
— Oui, mais ils m’ont tout de suite frappée. J’ai eu peur, très peur, parce qu’on voyait dans leurs yeux qu’ils souhaitaient que je me rebelle pour frapper plus fort. Sans personne pour m’aider, me défendre, j’ai cédé. Ils m’ont d’abord obligée à les sucer et les branler tous les trois, puis ils m’ont prise à trois, chacun leur trou. J’ai hurlé et ils m’ont ...