Mauvaise Conduite
Datte: 23/10/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
poilu(e)s,
voiture,
amour,
ffontaine,
caresses,
intermast,
Oral
init,
initiatiq,
Auteur: Cvices&delices, Source: Revebebe
... doigts. N’osant regarder pleinement, il était focalisé sur les sensations tactiles. Ses doigts et son esprit goûtaient chacune des nouvelles sensations, tout en contenant une excitation qui devenait insupportable. Les cinq doigts pulsaient lentement à l’unisson à mesure qu’ils s’aventuraient sur l’épiderme. Marie-Claude retira sa main pour laisser celle du garçon faire son exploration seule. Les mouvements à tâtons, l’hésitation et la lenteur avec laquelle il la touchait commençaient à l’électriser si bien qu’elle peinait à rester concentrée sur la conduite. Elle sentait son sexe passer du picotement à l’humidité, puis de l’humidité à la franche inondation. D’un côté, son sexe commençait à supplier que ces doigts novices viennent le fouiller, et d’un autre, elle voulait faire durer ce moment suspendu, avec cette main caressante et hésitante qui approche puis s’éloigne. Elle écarta franchement les cuisses pour inviter le jeune homme à poursuivre son exploration.
Martin vit les cuisses s’ouvrir et la robe remonter davantage en offrant à son regard le triangle d’étoffe, objet de ses convoitises. La vue du triangle de soie noire bombé provoqua la brusque montée d’une bouffée de chaleur en même temps qu’une tension accrue dans sa queue tendue.
— Tu aimes ce que tu vois ? C’est tout de même mieux que la dernière fois dans le jardin.
— Vous… vous me rendez dingue, c’est si beau.
— Alors, défais mon bas et remonte un peu tes doigts… mais pas trop vite ! Prends ton temps, ...
... surtout, prends ton temps !
Martin défit les petites agrafes qui tenaient le bas et le fit rouler jusqu’aux genoux avant de faire remonter ses doigts le long de la chair douce. Il avait passé tant de soirée à se masturber en fantasmant de pouvoir toucher un sexe de femme et il était là, pratiquement au bout de ses doigts. Sa main remonta telle une araignée de volupté, chaque phalange avançant, glissant, caressant, centimètre après centimètre, dessinant des arabesques et des volutes sur la chair. Marie-Claude mouillait, ruisselait même… puis eut une première décharge de plaisir lorsque les doigts de Martin se posèrent sur la soie de sa culotte détrempée.
— Regarde dans quel état tu me mets, susurra-t-elle tout en se crispant sur le volant. Continue, je t’en prie, continue !
Martin se concentra sur ce qu’il sentait sous la pulpe de ses doigts, cette humidité glissante qui s’accentuait à mesure qu’il appuyait ses caresses. La deuxième chose qu’il perçut fut le parfum musqué qui envahit l’habitacle. Les effluves du sexe de Marie-Claude l’enivraient totalement, décuplaient sa propre excitation.
D’un geste, Marie-Claude glissa une de ses mains dans sa culotte, enduisit ses doigts de sa mouille qu’elle goûta avant de la déposer sur les lèvres de Martin.
— Goûte-moi. Tu aimes ?
Le cerveau de Martin était totalement éparpillé entre la découverte de ses doigts perdus entre les cuisses de la jeune femme, des senteurs étourdissantes de ce sexe de femme embrasé et surtout de ...