1. On change


    Datte: 21/10/2024, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Eudes, Source: Hds

    ... complètement. J'ai poussé un cri lorsque sa langue essaya de rentrer dans ma rondelle. Je n'en pouvais plus de cette nouvelle caresse linguale. Il enleva ses mains de ma taille pour le poser délicatement sur mes épaules pour sentir ses doigts chargés de salive tourner autour de mon trou, puis quelque chose de chaud sur ma rosette. Oh la vache, il va me prendre. Je sens sa queue rentrer doucement, je croyais avoir mal, mais il m'avais tellement travaillé cet endroit qu'il pénétra sans douleur et très lentement ce qui me fit décoller dans un bien être complet.
    
    Il commença des va et vient assez lent en me faisant butter ses couilles poilues contre mes fesses. Pendant ce temps il avait repris ma tige rigide dans une main, car il ne voulait pas que je me touche. Il me dit à plusieurs reprises attends, attends. Son enculage était lent et doux pour après presque dix minutes le rythme commence à s'accélérer. Ma prostate était de nouveau sollicitée pour me donner ce plaisir inouï. Mes jambes tremblaient, tout mon corps mouillé de sueur vibrait. Je n'étais plus moi-même.
    
    Moi : Oui, ouiiiii, je veux jouir, je veux jouirrrr, vite, viteeee.
    
    L'infirmier : Un instant, oui, vous allez joui avec u orgasme puissant que vous n'avez jamais eu.
    
    De sa seconde main, il saisit l'éprouvette qui était juste à côté et en même temps de ses mouvements de son bassin, sa main se mit à me masturber avec un léger mouvement rotatif et je me suis mis à crier et même hurler mon plaisir lorsque mon ...
    ... sperme jaillit de mon méat avec plus de quatre importants jets avec des secousses de tout mon corps, mais surtout ensuite mon foutre se mit à s'écouler sans cesse d'une transparence inhabituelle après mes jets très épais. L'infirmier me soutient avec cette magistrale éjaculation accompagné d'un orgasme inconnu pour m'allonger sur le divan.
    
    L'infirmier : Restez-là, je vais porter l'éprouvette au laborantin.
    
    Il sortit de la pièce et revient quelques minutes après pour s'asseoir auprès du divan. Voyant mon état, il sort son stéthoscope pour mesurer ma tension tellement mon cœur battait et que j'avais du mal à respirer d'épuisement. J'ai dû me reposer presque trois-quarts d'heure. Après ce temps de récupération, l'infirmier prit la parole à voix basse.
    
    L'infirmier : Vous avez récupéré après ce prélèvement ?
    
    Moi : Oui, cela m'a crevé. C'est un incident de parcours pour moi Mais ce que vous m'avez fait subir était agréable et bon. Je N'ai jamais eu un tel plaisir.
    
    L'infirmier : je sais, je vous avais prévenu. Moi aussi je mets des parenthèses à ma vie de couple. L'amour au masculin est plus intense et plus sincère.
    
    Moi : Oui, c'est différent et on peut se laisser aller complètement.
    
    L'infirmier : Normalement je vis avec ma famille en province, et lors de mes jours de factions au laboratoire, j'ai un grand studio pas loin d'ici. Cela serait bien de recommencer ensemble.
    
    Moi : (j'étais assez tenté) j'ai ma famille ici, et puis ….. me voilà A faire des choses ...