1. Une douce soirée


    Datte: 21/10/2024, Catégories: ff, oncletante, Collègues / Travail groscul, fépilée, douche, odeurs, caresses, Oral 69, uro, lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... l’atlantique.
    — Vous étiez où ?
    — Du côté de La Palmyre, tu connais ?
    
    J’ai dû prendre un drôle d’air. Bien sûr que je connaissais, bien sûr que ces grandes plages je les avais fréquentées, la première plage sur laquelle j’avais couru toute nue avec Amélie.
    
    — Oui, je connais bien, enfin je connaissais, je n’y suis pas retournée depuis des années.
    
    Anna du sentir mon trouble :
    
    — Des souvenirs ? Désagréables ?
    — Oui, des souvenirs, pas désagréables, mais émouvants. Je te raconterai.
    
    Mais j’ajoutai :
    
    — Peut-être…
    
    Anna n’insista pas. Histoire de dissiper le petit malaise, je lui fis un baiser. Elle prit mon sein et embrassa le mamelon en faisant tourner sa langue sur l’aréole. Elle soupesait le sein en le portant à la bouche.
    
    — Je suis certaine que tu peux sucer ton téton.
    
    Ils étaient suffisamment souples et tombants pour que, en effet, je puisse le faire. Ils avaient grossi avec les années.
    
    — Si on allait dîner ? J’ai un peu faim.
    
    Ce fut la façon d’Anna de changer de mode de conversation.
    
    — Bonne idée, il y a à dix minutes, une petite brasserie au bord de l’eau, super sympa. On y allait souvent avec Alain. C’est à dix minutes à pied.
    
    Un petit coup de maquillage, je lui ouvris mon arsenal. Elle se maquilla les paupières en mauve un peu brillant, elle avait de très beaux yeux. Je jouai le maquillage de soirée avec un gloss d’un rouge éclatant.
    
    Anna en m’observant me demanda
    
    — Tu te maquilles toujours toute nue, le matin avant de venir ...
    ... à la boîte ?
    — Oui, pourquoi ?
    — Quand je te verrai arriver, j’y penserai.
    
    La guinguette avait une grande terrasse en bord de Seine.
    
    — La cuisine est simple, mais très sympa et vu le temps clément, nous pourrions certainement dîner dehors.
    
    Nous avons rapidement remis les vêtements du jour. L’air était doux. N’étant pas au travail, Anna ne mit pas de collants ni moi de bas.
    
    Au restaurant, le gérant est venu à notre rencontre. Il me demanda de mes nouvelles, si j’allais bien sans faire plus d’allusions à Alain. Je m’excusai de ne pas avoir réservé, remarque qu’il balaya d’un geste. Il nous guida vers la terrasse. Je le vis enlever la marque « réservé » et la poser sur une table plus éloignée.
    
    — Vous serez bien ici, juste au bord de l’eau.
    
    Il nous proposa un apéritif qui se résuma à un verre de vin pour le repas.
    
    Je remarquai les regards appuyés qu’il portait à nos cuisses découvertes. J’en fis part à Anna qui, avec un clin d’œil, croisa ses jambes, ce qui découvrit presque totalement sa cuisse droite. En prenant la commande, Alex – c’était son nom, le vrai, même pas un diminutif – avait les yeux qui lui sortaient de la tête. J’avais également croisé mes jambes et il avait le choix entre la cuisse droite d’Anna et ma cuisse gauche.
    
    Anna se pencha vers moi amusée :
    
    — Il doit revenir vers la cuisine en pensant que nous devons être deux grosses salopes et peut-être même des gouines.
    
    Ce n’était pas impossible.
    
    Après l’incontournable œuf en meurette ...
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