Souvenir de fac – partie 3 : entre le canapé et le lit (suite)
Datte: 18/10/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Bob-et-Annie, Source: Hds
Assis, jambes écartées, le futal et le slip au-dessous des genoux, je regardais Delphine prend mon sexe en bouche. L’instant dura ainsi dix bonnes minutes. Delphine suçait merveilleusement bien ; mais je ne me voyais pas encore à l’époque jouir dans sa bouche ou sur son visage car cela ne faisait pas encore partie de mes pratiques ; et qu’à vrai dire il y avait encore un peu de timidité en moi. Enfin, il y avait d’autres désirs à assouvir et d’autres plaisirs à prendre. Delphine m’avoua en effet, à ce sujet une bien curieuse envie : être prise par derrière, autrement dit essayer ce que nous appelons vulgairement la sodomie. Avec son copain, elle n’avait jamais essayé. Ce dernier ne voulait pas. Plusieurs fois, elle le lui avait proposé, mais non, lui, il ne voulait pas, il trouvait cela sale dégoutant et disait que cela était trop dégradant pour une femme. Et à chaque fois, à chaque proposition de Delphine, il s’y refusa avec fermeté. Delphine en était offusquée, même attristée.
- Tu veux faire cela avec moi ? lui demandais-je alors.
- Oui.
A ce moment-là, Delphine était encore devant moi, et elle venait de me sucer royalement comme une reine où une petite pute qu’elle n’était pas ; mais ô putain qu’est-ce qu’elle suçait bien ! Tantôt, je voyais mon sexe entrer tout entier dans sa bouche, tantôt, elle tourna sa langue autour de mon gland en me défiant du regard. Elle était là à genoux et accroupie devant mi. Je prenais sa tête de temps à autre, par les cheveux, pour ...
... mieux la pénétrer, et la regarder. C’était divin, c’était sublime.
Après cela, Delphine m’emmena donc dans sa chambre en me prenant par la main. Je la suivais délicatement, transporté par une émotion vive où chaque couleur, chaque pas de ma vie devenait un havre de paix et de délice avec elle. Le bien-être était absolu.
Dans la chambre, Delphine se plaça debout devant moi. Je la prenais par la taille. Elle était belle, gracieuse et merveilleusement parfaite : son corps élancé chavirait mon cœur et intensifiait mes désirs. Mes pensées en étaient toutes bouleversées. Sa peau, d’une nudité impeccable caressait mon torse. Je l’embrassais et caressais ses cheveux si doux et si soyeux. Nos corps ne faisaient qu’un ; nous étions unis, enlacés. Nous nous sentions bien l’un et l’autre, l’un dans l’autre, comme si nous étions dans un autre monde : le monde de l’ivresse, de la passion et de la délectation.
Dans sa chambre, Delphine possédait un grand lit où l’on pouvait aisément coucher à deux. Le matelas, confortable, se trouvait au-dessus d’un sommier situé à peine à 10 centimètres du sol. C’était l’idéal pour prendre Delphine par derrière, position levrette, jambes légèrement écartées et mon sexe qui la pilonna de mouvements vigoureux, dynamiques et cadencés.
Au pied du lit, il y avait un tapis, une sorte de carpette à poils angora, gris, où je me suis agenouillé pour prendre Delphine selon sa volonté. Mon sexe luisait tellement de mouille et de sa salive que je n’avais ...