Dernier cours de l'année
Datte: 17/10/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
profélève,
école,
fsoumise,
noculotte,
Masturbation
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
baillon,
fouetfesse,
prof,
Auteur: Blacksad22_, Source: Revebebe
... rejoindre l’amphi. J’étais à deux doigts de courir, mais sans culotte sous ma jupe, cela aurait été une erreur stupide.
J’arrivai tout de même rapidement devant l’amphi, toutes portes fermées, avec un écriteau « en rénovation ». Oh le coquin, il me donnait rendez-vous dans un endroit où personne n’irait. J’étais déjà mouillée.
Je poussai discrètement la porte pour entrer. C’était désert. Il n’y avait absolument personne. Toutes les tables étaient vides, le bureau était presque poussiéreux. Un début d’échafaudage se faisant sur le mur droit, mais sinon, rien d’autre qu’un amphithéâtre vide.
Je m’assis à une place, au premier rang, en attendant. Il avait peut-être été retenu avant de venir lui aussi.
L’attente semblait des heures, mais ma montre n’affichait que 17 h 16 lorsque la porte arrière claqua, laissant entrer mon rendez-vous mystérieux.
Je fis mine de ne rien avoir vu, et restai concentrée sur mon livre, posé sur la table devant moi. Les pas se rapprochaient doucement, avant de voir une ombre s’arrêter devant moi, pile à ma hauteur. Il déposa ma photo devant moi, et je levai la tête pour le regarder dans les yeux.
— Qu’est-ce que c’est censé signifier, mademoiselle Favier ?
Ouh, on en était aux noms de famille maintenant. Je fis mine de ne rien savoir, ouvrant grand les yeux.
— Que voulez-vous que cela signifie, monsieur Pillot ?
— Vous pouvez vous contenter de « monsieur ».
J’aimais bien la tournure que prenaient les choses. Il faisait comme ...
... s’il était strict, mais s’il voulait vraiment savoir de quoi il s’agissait, il ne m’aurait pas donné rendez-vous ici.
Je déboutonnai ma chemise de deux boutons, pour laisser apparaître mon buste, qui n’était pas caché par un soutien-gorge. Il m’observa le faire, sans rien dire.
Il déposa sa sacoche sur le bureau réservé aux professeurs, et s’y adossa, les bras croisés, me fixant droit dans les yeux.
— Vous pensez que vous pouvez montrer une photo de vous nue à un professeur pour qu’il couche avec vous, mademoiselle Favier ?
— Je n’oserai jamais penser des choses pareilles. Mais est-ce le cas ?
Il y eut un moment de silence, toujours à nous regarder tous les deux. C’était finalement assez érotique ce qu’il se passait. Tout dans le non-dit. Mais j’en avais marre du non-dit, et je voulais plus. Il était là, devant moi, si élégant. Et il voulait la même chose que moi, c’était certain.
Je me penchai pour fouiller dans mon sac, pour en sortir ma culotte et la déposer devant moi. Je le regardai dans les yeux à nouveau, écartant légèrement les jambes, pour qu’il puisse voir sous ma jupe.
Je réitérai ma question.
— Est-ce le cas, monsieur ?
Il baissa les yeux, m’observa longuement, puis s’approcha de moi, pour avoir le visage presque collé au mien.
— Il se pourrait bien, oui.
Il glissa sa main autour de ma gorge, sans serrer, juste pour me signifier qu’elle était là, et il m’embrassa. Je fus surprise qu’il aille si vite, mais je me laissais emporter. Il ...