1. L'autre blonde


    Datte: 17/10/2024, Catégories: fh, ffh, fbi, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, intermast, facial, Oral pénétratio, fdanus, champagne, totalsexe, Auteur: FredN76, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Encore haletant, l’esprit toujours brouillé par nos ébats, je fixais son téléphone, interdit, essayant de traiter l’information.
    
    — Célia ? parvins-je à demander
    — Oui. Elle est ma compagne depuis deux ans, déjà.
    — Mais ? Je… Elle… Enfin, nous… ? bredouillai-je
    — Tu n’as pas à t’inquiéter. Et tu ne dois pas être jaloux. Ça ne veut pas dire que ce qui se passe entre nous n’est pas sérieux. C’est pour ça que j’étais nerveuse ce midi. Je ne savais pas comment aborder ce sujet avec toi sans te choquer ou t’effrayer. Et puis, finalement, tu m’as facilité la tâche.
    
    Ce disant, elle me fixait intensément, guettant ma réaction. Je ne répondis rien. Je ne savais vraiment pas quoi dire, pour être honnête, il s’était passé tant de choses ces dernières trente-six heures… Je me repassai en accéléré le film de notre rencontre, de nos étreintes, l’ascenseur émotionnel…
    
    Je finis par ouvrir la bouche pour répondre quelque chose, mais avant que j’aie pu produire le moindre son, elle m’embrassa langoureusement. Puis elle se leva, et de sa démarche féline, s’approcha de la table, et saisit la bouteille de champagne qui trempait dans son seau à glace. Je l’observai, fasciné, ensorcelé par sa silhouette voluptueuse, ivre de son odeur corporelle.
    
    Sans se départir de son éternel sourire énigmatique, elle remplit nos deux flûtes, et revint se lover contre moi. Je décidai finalement de ne rien dire. J’avais besoin de temps pour digérer la révélation ...
    ... de Madeleine, de toute manière. Et j’étais bien décidé à profiter de chaque seconde avec elle. Après tout, je ne savais rien ou presque d’elle, et tout cela ajoutait au mystère intrigant qui l’entourait comme un halo vaporeux. Elle était aussi belle qu’imprévisible, et elle m’avait tout entier en son pouvoir.
    
    Nous bûmes doucement, dans le silence complice de notre amour naissant. Elle était blottie contre moi, je sentais son souffle redevenu régulier, sa main gentiment posée sur ma cuisse. Elle leva des yeux langoureux vers moi, et me sourit. Elle pianota rapidement sur son téléphone, et mit de la musique. Des hommes qui chantaient d’une voix rocailleuse des mélodies qui sentaient le bourbon et le tabac froid. Des guitares qui déclamaient des complaintes héroïques et tristes à la fois.
    
    Je ne me souviens pas combien de temps nous sommes restés enlacés comme ça, à siroter notreVeuve Cliquot. Mais nous finîmes par aller nous coucher. Dehors, la pluie s’était arrêtée, et seul le léger sifflement du vent venait troubler le silence paisible qui enveloppait la nuit. Nous nous glissâmes dans les draps, et je m’endormis comme une masse. Au milieu de la nuit, un sixième sens m’indiquant que Madeleine n’était pas dans le lit me réveilla. Je me levai, enfilait un t-shirt, et sans allumer la lumière, je me mis en quête de ma compagne.
    
    Elle était sur le balcon, presque nue malgré la température peu clémente de la nuit normande, le regard perdu dans un horizon insondable, le vent ...
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