1. « Josy »: une fête en l’honneur du sexe. Épisode 33


    Datte: 16/10/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... Habituellement, une simple masturbation me suffisait pour me soulager. Cependant ce soir-là, c’était d’un homme dont j’avais besoin.
    
    Il faut dire que d’avoir préparé la soirée que je prévoyais pour fin août, lorsque tous les voisins seraient de retour de vacances, cela m’excitait, rien que d’y penser. Mais également ce soir, en dansant avec Adrien, le gérant de la superette m’avais mise en émoi, et lorsque je lui avais demandé s’il désirait aller plus loin dans ma voiture, il refusa prétextant que sa femme était sur la piste de danse. Je me demandais maintenant s’il n’était pas impuissant : « Bandait-il vraiment ? » Avec Patricia, sa queue était bien restée en berne, m’avait-elle certifié. Je dus employer une nouvelle fois mes doigts et mes jouets afin de me faire un peu de bien, avant de m’endormir.
    
    Le lendemain, Gisèle et François m’avaient demandé s’ils pouvaient m’accompagner lors de mon footing. Elle, plus en forme et étant bien plus entrainée, connaissant mon projet, ne nous avait pas attendu pour nous semer. Tout en courant, j’en avais profité pour parler à son mari. Je désirais savoir, s’il n’avait pas menti lors de la soirée chez Guy et Chantal. Il me confirma qu’il avait dit la vérité. Je n’avais pas pu m’empêcher de lui demander : « Imagine que tu sois seul avec une femme qui te séduise ouvertement. Que ferais-tu ? »
    
    Après quelques secondes de réflexion, il répondit : « Je n’en sais rien… cela n’arrive qu’au cinéma. » À cet instant, je m’arrêtai de ...
    ... courir, lui prit la main droite et approchai mon visage à quelques centimètres du sien prêt à l’embrasser. Tenant toujours sa main, je la posai sur mon sein gauche pendant que ma main droite reposait sur sa fesse : « Nous sommes seuls là sur ce sentier. Si je t’embrasse, tu me rejettes ? » Il se plaqua à moi et me prenant au mot, voulut poser ses lèvres sur les miennes. Ma main quitta ses fesses pour se poser sur son entrejambe : « Allez François ! Retournons courir. » Gêné, il ne disait plus rien, je lui fis remarquer qu’il n’était pas insensible à mes charmes. C’était ce que je voulais savoir.
    
    Fin août 88, pour cette fête érotique et de partage, les couples désirant tester le libertinage, s’y étaient préparés mentalement depuis près de deux mois. Toutes les personnes présentes ici étaient clean côté VIH. À cette occasion, suivant les conseils de Gisèle, j’avais spécialement fait venir mon demi-frère Gérald. Pendant toute l’après-midi dans la piscine de Pierrot, les uns et les autres se cherchaient sans savoir réellement comment pratiquer, nous étions déjà bien excités. Pour le repas du soir à la maison, les enfants et les ados étaient tous restés chez Patricia sauf les deux bébés que nous avions couché Joceline et moi dans la chambre de Mary.
    
    Cela commença à se débrider devant le barbecue. Gerald s’en occupa, en tee-shirt moulant et en short, il faisait le show avec sa musculature. Debout devant les braises retournant la viande, Gisèle s’étant proposée de l’aider, tournait ...
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