L’accorte accompagnatrice de l'artiste
Datte: 16/10/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
hotel,
caresses,
Oral
pénétratio,
rencontre,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... retient. Quant à moi, je ne porte plus rien sous la ceinture.
Oui, cette Annette est un sacré beau morceau de choix, voluptueuse, charnelle, un pur plaisir de courbes dont je me délecte. Et ravie de mon empressement envers elle, cette petite se laisse butiner sans complexe, ce qui m’attise encore plus !
— Oh vous alors ! Faut pas vous en promettre !
— Fallait pas me laisser mettre mes doigts partout sur toi !
— Dans ce cas, vous avez un peu plus de dix doigts…
Ah ces lourds lolos, ces tétons érigés et si sucrés, cette bouche rouge si accueillante, sans oublier ces cuisses fraîches et dodues, ces fesses rebondies à souhait, et ce petit bosquet bouclé qui cache une grotte humide et odorante que je visiterai bientôt !
Pourquoi remettre à plus tard, ce que je peux m’octroyer tout de suite ?
— Annette… j’en ai trop envie…
— Servez-vous, Jean-Gérald… c’est fait pour ça…
— Hmmm, tout est simple avec toi…
Elle m’adresse un sourire complice :
— Pourquoi se compliquer la vie ?
— Ah, si seulement tout le monde raisonnait comme toi !
Ses mains autour de mon cou, elle m’attire à elle. Je me positionne au mieux. Sans préambule, poussé par l’urgence, mon gland s’enfonce dans son bosquet, caressé par les poils bouclés, c’est exquis ! Je veux posséder cette femme, me perdre en elle, me noyer au plus profond ! Ce n’est pas la première nana avec laquelle je m’envoie en l’air, d’ailleurs, je ne les compte plus, contrairement à mes jeunes années, mais cette Annette, ...
... c’est quelque chose ! Je suis rudement content que le destin l’ait mise sur ma route !
— Aaah ! Que c’est bon !
Oh oui, j’adore être dans sa chatte si accueillante. J’ai l’impression que ma verge est carrément massée tandis qu’elle entre et sort dans son antre si délicieux. J’ai rarement vécu cette sensation, et quand j’y ai eu droit, ce n’était pas avec des débutantes, sauf une fois, c’est vrai.
Foin de ces réflexions, je coulisse comme un beau diable entre ses cuisses si fraîches, bien décidé à profiter de ma bonne fortune du jour, d’entendre jouir cette pitchoune et de jouir moi aussi comme un fou. La vie est trop courte pour qu’on se gâche l’existence, je laisse ça aux pseudo-intellectuels existentialistes de Saint-Germain ! Ou du moins, à ce qu’il en reste !
En général, je suis assez résistant, surtout lors des marathons dans l’intimité des chambres et des loges, mais il y a hélas une limite à tout, même si on a le cœur à l’ouvrage. Vautrés dans le canapé, nous nous reposons l’un à côté de l’autre, repus, vidés, épuisés par nos jouissances respectives, car Annette s’est laissée aller sans complexe. J’adore ce genre de femme qui ne fait pas de chichi !
La première, Annette prend la parole :
— Ah, c’est dingue ! Même si je l’espérerais, j’aurais jamais cru que j’aurais été choisie afin de baiser avec un grand artiste comme vous ! Oh pardon !
Je me mets à rire :
— Hahaha ! Baiser, c’est bien le bon terme ! En ce qui concerne le grand artiste que je ...