Le lendemain matin
Datte: 15/10/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Maceran, Source: Hds
J’étais au bureau et je n’avais pas grand-chose à faire, on se préparait à fermer le chantier pour l’été. Vers 10,00 heures, je me décidais à appeler Stéphanie, histoire de la tenir en forme, au chaud. Elle décrocha presque instantanément Moi : « Tu es seule, … »Stéphanie : « Oui, … j’espérais ton coup de téléphone, …je m’ennuie de toi, … j’aime entendre ta voix, … dis-moi de gentilles choses, … »Moi : « J’aime tes seins quand tu me les donnes avec les tétons bien durs, … j’aime les sucer, … les téter, …et t’entendre dire encore, … »Stéphanie : « Non, … ce n’est pas vrai, … à t’entendre, … ils deviennent durs, … tu as l’art de m’exciter, … j’aime t’entendre, … continues, … »Moi : « Je suis sûr que tu as envie, … d’augmenter ton décolleté, … de libérer tes seins, …ouvres un bouton, … »Stéphanie : « Tu es fou, … je ne peux pas faire ça, … et si quelqu’un rentrait, … tu sais qu’ils ont l’œil, … »Moi : « T’as ta petite veste courte, … tu l’as met, … et avec elle tu peux ouvrir largement ton décolleté, … si quelqu’un rentre, … d’abord il frappe, … ça te donne le temps de fermer ta veste, … je suis sûr que tu en as envie, … allez exécution, … »Stéphanie : « Non, … ce n’est pas possible, … »Moi : « Ne me dis que ce n’est pas possible, … je suis certain que tu as envie d’aller chercher ta petite veste, … mais comme tu as remonté ta mini au-dessus des bas, … et peut-être plus haut, … tu te demandes comment aller la chercher, … »Stéphanie : « Tu es un monstre, … j’ai rabaissé ma ...
... jupe et je suis allé chercher ma petite veste … pour voir, … tu es vraiment horrible, … je devrais raccrocher, … »Moi : « Mais tu n’as pas envie de raccrocher, …tu as envie que je te dise quoi faire, … »Stéphanie : « Jean, arrêtes, … tu me rends folle, … »Moi : « Bien, … je raccroche, … on se voit tout à l’heure, … j’espère que tu seras toute chaude, … » et je raccrochais. Avant midi, j’étais chez moi à guetter son arrivée et me demandant comment elle avait réagi. Elle arriva quelques minutes après, la veste en bataille, son sac en bandoulière et une pizza à la main. Elle n’eut pas le temps de sonner, que je lui ouvrais la porte. A peine entrée, le sac à terre, la pizza sur la petite table et elle était contre moi, les bras autour du cou : « Monstre embrasses moi, … » J’avais juste eu le temps de remarquer que si la veste était ouverte, c’était pour dissimuler que le corsage était lui aussi ouvert, ne cachant plus ses seins libres de toute entrave. C’était le moment d’en profiter, alors que sa bouche, contrairement à l’habitude s’offrait ouverte et gourmande. Son bassin était collé non, roulé contre le mien avec le résultat que vous pouvez imaginer. Alors tout en lui caressant dos, fesses, … je lui glissais : « J’ai gouté à tes douces lèvres du haut, … je veux gouter celles du bas, … »Stéphanie : « Oui, … j’attendais ça, … viens, … je ne pense qu’à ça depuis ton coup de téléphone, … » et on se dirigea vers la table de la salle de séjour, et pendant ce trajet elle réussit à ...