Histoires de la Bienheureuse Agnès 02
Datte: 19/07/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byDominiknic, Source: Literotica
... lorsqu'elle finissait sa formation d'infirmière, où une jeune femme, médecin interne devait reconnaître les bites de ses collègues internes, qu'ils lui passaient entre les fesses et dans la fente, dans l'ordre d'un pronostic de taille qu'elle avait établi... (Voir le récit : '' Fin d'études d'une jeune infirmière '')
Ses rêves éveillés s'arrêtèrent brutalement. Si quelqu'un avait pu deviner à cet instant ses pensées, elle serait passée en effet pour une fieffée salope! Sûr! A cette idée qu'elle aurait pu être devinée, ses joues s'empourprèrent de honte et elle fit un rapide passage en revue du regard des autres convives pour s'assurer que personne ne remarquait son trouble passager...
Personne ne faisait attention à elle, non!... Depuis déjà un bon quart d'heure qu'elle avait interrompu la communication réelle avec le groupe pour se perdre dans ses fantasmes, elle n'avait pas pris vraiment garde à l'évolution de son environnement. A grand peine, elle reprit contact avec la réalité de la cave. Ce qui s'était bu au passage des différentes stations devant les tonneaux avait quelque peu changé les choses : en face d'elle la portugaise, Maria confirmait son ivresse, en titubant, elle tendait son verre à ceux qui étaient autour d'elle, en réclamant qu'on lui donne encore un peu de vin... Pedro son mari, s'appuyait à la grande voisine en socquettes qui avait la tête de plus que lui. Celle-ci, que l'on appelait la grande Bernadette, sans doute parce qu'elle avait chaud, avait ...
... ouvert le haut de sa blouse et s'était plus ou moins dépoitraillée, mettant à jour une combinaison qui avait été blanche et qui maintenant était largement maculée de vin... Ses seins opulents pendaient de façon obscène sous la dentelle un peu fanée...
Les deux petites étudiantes, la blonde Hélène et Elise, la brune, riaient comme des folles en se cramponnant aux deux garçons, Johann, le grand blond et le blondinet, tandis qu'Adrien le brun, était assis sur un petit tabouret de bois, face à Brigitte. Celle-ci, accroupie devant un tonneau de façon très indécente, remplissait les verres au robinet du fût. Sa robe était très largement relevée sur ses cuisses ouvertes. Le jeune étudiant assis en face, regardait sans se gêner sous sa robe dans l'entrebâillement des cuisses, et dans le décolleté qu'elle donnait à voir lorsqu'à demie penchée elle soutirait le vin au pied du tonneau... Le Jacquot, lui avait pris le gros saucisson lyonnais dans le panier et racontait de manière très animée au groupe des deux garçons et des deux filles, des histoires apparemment très grivoises en les mimant de façon obscène à l'aide du saucisson. Agnès ne voyait que les gestes et n'entendait pas exactement les propos, mais cela faisait beaucoup rire les deux jeunes filles, elles aussi maintenant très éméchées...
Brusquement le Jacquot, en bon patron qu'il était, se mit à crier à la cantonade :
- '' Les femmes au cuveau et le bon vin est pour la Nau! Aller, les garces au cuveau!"
Reprenant, ...