COLLECTION HISTOIRE COURTE. Tout ça est parti d’un rêve ! (1/1)
Datte: 11/10/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... en face de nous.
Elle se faisait baiser alors que je vois le mouvement que fait celui qui doit être son mari dans l’autre voiture, nul doute qu’il se tape une pignole.
Nous prenons la rampe, nous quittons ce lieu, que je pense avoir quitté à jamais.
De retour chez nous, c’est sans un mot que nous nous douchons.
J’ai le bas-ventre couvert de ma cyprine qui est bien plus présente que les fois où nous faisons l’amour dans notre lit.
J’ai du mal à m’endormir, mais quand je le fais, par chance, nul rêve pour venir perturber notre couple, Boris en me montrant son fantasme a dû exorciser celui de viol pour moi.
La vision de cette femme très peu vue m’obsède et le pied que j’ai pris à me montrer aussi.
Pour finir, la peur que Boris me prenne pour une dépravée me bloque, jusqu’à ce que je sente le besoin de tout lui dire.
• Chéri, j’ai regardé, samedi tu es de repos et c’est la pleine lune, j’aimerais que nous retournions sur le parking au bord de Saône !
• Tu as envie de baiser avec un inconnu !
• Non, avec toi la voiture au même endroit que la première fois.
Je veux que ce soit toi qui me baises alors que des gars se masturbent en nous regardant baiser.
Ton fantasme est devenu le mien !
Le samedi, comme prévu, c’est pleine lune, j’ai hésité avant de m’habiller, j’ai failli mettre une robe sans culotte, j’opte pour mon short ras ma fente épilée avec mon débardeur.
Une fois en place ainsi que la voiture à sa place, il sera plus facile de ...
... faire glisser mon short et d’enlever mon débardeur pour que les voyeurs voient tout de mon anatomie.
Je veux qu’ils voient la queue de mon homme entrer doucement en moi jusqu’à ce que je la sente repousser mon utérus.
Je sais que je vais jouir comme jamais, même si la conséquence est la même que la premier fois, dès que je le pourrais au matin, il faudra que j’aille passer le jet afin d’enlever tout le sperme qu’elle aura reçue.
Comme prévu, nous rentrons alors que j’ai passé une soirée d’enfer.
La voiture était tournée pour que je voie les voitures venir et les échanges se faire.
Un moment alors que j’étais empalée.
J’ai cru reconnaître Babette, mais comme, lorsqu’ils étaient venus, j’ignore avec quelle voiture ils sont.
À moins d’aller faire la voyeuse, j’ignore si c’est elle qui comme moi saute sur la bite, moi de mon mari et elle de son amant.
En plus aller faire la voyeuse près de Babette si c’est elle, ce serait prendre le risque de me faire violer sur le capot de notre voiture, je préfère l’éviter même si j’en ai rêvé.
Combien sont-ils autour de nous quand je jouis sous la bite familiale, des jets fusent de partout maculant même le pare-brise.
Avant de monter la rampe, j’ai le temps de voir les fesses de la salope qui se fait baiser, sans pouvoir le reconnaître.
Si j’avais accepté la main aux fesses de Marcel, je les aurais peut-être reconnus.
Boris doit mettre les essuie-glaces, c’est un mal pour un bien, car le lait concentré sur nos ...