COLLECTION SOUMIS – SOUMISE. Ave Maria (3/7)
Datte: 09/10/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Marie, je m’appelle Marie, je suis issue d’une famille catho à la limite de l’intégrisme habitant à Blois dans le département du Loire et Cher.
J’étais, je devrais dire, ce matin vers 10 heures j’étais en phase jusqu’à ce que je quitte les chambres que Boby, John et Édouard avaient louées et où ils nous ont entraînés sous couvert de boire un dernier verre.
J’étais d’une famille catho, j’étais une enfant de Marie qui est venue à Paris pour faire ses études.
Ma bouche, ma chatte et même mon anus, les deux derniers me faisant mal ont été visités par les bites de Boby et John alors que Ludivine s’envoyait en l’air avec Édouard dans la chambre voisine.
Terminé les rêves de vivre une nuit de noces dès ce premier soir, le jour ou diplôme en poche, j’épouserais l’homme de ma vie.
Bon ça encore on assumera, on est au 21ème siècle et je pourrais expliquer à celui qui m’aura épousé qu’à Paris les tentations étaient grandes et que j’ai été faible.
Devant une grande tasse de café et deux croissants, ce que j’apprends est bien plus surprenant que les pertes de mes illusions de mariage en robe vraiment blanche.
Dans mon brouillard alcoolique, j’ai très nettement vu la queue d’Édouard qui avait déjà fouillé le vagin de Ludivine lorsqu’ils sont venus dans la chambre où nous étions.
Pas la moindre trace de sang contrairement à celle de Boby le faisant hurler lorsqu’il s’est aperçu que j’étais vierge.
Devant ce café et ces croissants, Ludivine m’avoue avoir un amant ...
... depuis plusieurs mois.
Elle m’avoue que cet amant est le dernier des hommes à qui j’aurais pensé si elle avait continué de se taire, mais elle parle.
L’homme, c’est Hubert, mon père.
Mon père cet homme rigoriste nous emmenant à la messe, même moi qui suis majeure tous les dimanches.
J’avais le droit de sortir certains soirs depuis ma majorité, mais avec malgré cela une contrainte d’heure.
En juin, j’ai dérogé et le dimanche j’aurais voulu rester à dormir, je me suis trouvée virée de mon lit comme une enfant du diable et contrainte de les suivre à la messe.
À l’église, Ludivine qui était avec moi brillait par son absence.
D’ailleurs si j’avais dérogé à l’heure où je devais rentrer, c’est parce qu’elle avait refusé de partir plus tôt.
On a compris que Ludivine me soumettait à ses quatre volontés et j’étais restée pour éviter de la contrarier.
J’évite toujours de la contrarier, mais je veux savoir comment une jeune fille de dix-huit presque dix-neuf ans peut être la maitresse d’un homme de plus de quarante-cinq ans, qui plus est mon père.
Elle me donne des explications semblant être contentes de s’épancher en parlant de son amant.
• Je me suis donc rendu à leurs cabinets un jour ou sur son agenda, j’avais vu que mon père était en séminaire et après avoir vu partir leur secrétaire.
Je suis entrée lorsque j’ai vu l’avant-dernier client sortir.
La salle d’attente était vide et j’ai entendu ton père reconduire le dernier client.
Il pensait en ...