1. La petite sirène


    Datte: 07/10/2024, Catégories: fh, inconnu, piscine, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, intermast, préservati, pénétratio, occasion, Auteur: Aventurine, Source: Revebebe

    Une file d’attente s’est déjà formée devant le bâtiment, même s’il n’ouvre que dans un quart d’heure. Avec un soupir, j’ouvre l’arrière de ma voiture et en extrais mon sac posé sur la banquette. Je tente d’estimer à vue de nez le temps d’attente nécessaire avant d’atteindre le guichet de la piscine publique.
    
    La chaleur est étouffante, mais je me concentre sur la promesse d’un après-midi rafraîchissant dans le grand bain. Parvenue à la fin de la file, je me place derrière un trentenaire vêtu d’une chemisette bleu ciel et d’un short en jean effiloché. Absorbé par son téléphone sur lequel ses pouces pianotent à un rythme effréné, il ne remarque pas que la file a progressé d’un mètre. Patiente, je reste sur place et attends qu’il daigne avancer à son tour. En fixant sa nuque aux cheveux brun coupés courts, j’attends en silence, de plus en plus abattue par la chaleur. Au bout de quelques secondes, nouveau mouvement du serpentin humain. Aucune réaction devant moi, nous allons être semés et déjà des voix agacées se font entendre derrière moi.
    
    Je sors avec peine de ma torpeur pour oser l’interpeller :
    
    — S’il vous plaît…
    
    L’homme se retourne. Je suis frappée par l’éclat de ses yeux. Le même bleu que celui des bassins, qui eux sont toujours hors de portée. Une calvitie naissante, des traits fins et des lèvres plutôt pulpeuses, cernées par un bouc parfaitement dessiné. L’air surpris, comme pris en faute, il tourne brièvement la tête vers la façade puis me fait face à ...
    ... nouveau.
    
    — Oh oui, bien sûr, excusez-moi ! s’exclame-t-il.
    
    Il avance aussitôt de quelques pas, entraînant dans notre sillage la dizaine de personnes derrière nous. Alors que nous avançons, mon regard est attiré par ses mollets musclés, dont l’un est entouré d’une frise tribale, juste à la base du genou. Joli tatouage. Pour tuer le temps, je me surprends à en imaginer d’autres sur certaines parties de son corps. Sur son omoplate, que je devine musclée sous sa chemise. Au creux de ses reins ou sur son torse. Pour tuer le temps lui aussi, il s’est remis à pianoter sur son téléphone.
    
    Je franchis les portes au bout d’une attente qui me paraît interminable. Choisissant la première cabine libre sur mon passage, je m’empresse d’enfiler mon maillot de bain. C’est un deux-pièces, de couleur verte et orné de jolies fleurs multicolores. C’est un maillot conçu pour les sports aquatiques, mais peu importe, personne n’ira me demander si je tiens debout sur une planche de surf. Encore heureux.
    
    La fraîcheur des lieux et le contact du carrelage sous mes pieds me paraissent délicieux après ma station prolongée dans la fournaise du dehors. Je dépose mon sac et emprunte un long couloir menant vers les bassins. Face à l’une des portes bleues des casiers, le beau brun distrait lutte avec une serrure. Il ne me remarque pas, ce qui me laisse le loisir de jeter un œil à sa silhouette sportive. Le galbe de son fessier est parfait, vu de profil. Je me damnerais pour avoir des fesses pareilles, ...
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