Une petite Bud ? - Histoires de Sexe

Une petite Bud ?

... l’habitude, et se mit à boire tout en me regardant faire, puis il a posé la canette et a pris ma tête à deux mains pour me baiser la bouche à grands coups. Quand il a fini de jouir, il m’a relâchée, ma bouche débordait, je n’étais pas arrivée à absorber tout ce qu’il m’avait envoyé. Il m’a montré la canette :
— C’est de la bière, t’en veux ?

Je n’ai pas osé dire que c’était la première fois, j’ai voulu faire la grande. Il ne restait plus que deux ou trois gorgées, je les ai avalées comme si de rien n’était.

— Devant tout le monde ?
— Devant tout le monde, oui ! Ça m’a d’ailleurs valu une sacrée réputation.
— Et vous avez aimé ?
— C’est difficile de sentir quelque chose quand on a la bouche qui baigne dans le sperme, mais j’ai apprécié la fraîcheur de la bière le long de ma gorge, ça a calmé les irritations qu’il avait faites en me ramonant.
— Vous avez senti les effets de l’alcool ?
— Non, c’étaient juste deux ou trois gorgées et je crois même que c’était du panaché. Je m’étais fait un monde de boire de l’alcool et j’ai été plutôt déçue, mais dès la semaine suivante, j’ai recommencé. Au bout de quelques mois, je buvais une ou deux bières quand on sortait.
— Et les alcools forts ?
— Pas à cette époque. C’est quand je suis rentrée en École de Commerce, lors des week-ends d’intégration. Ça avait démarré de façon sympa, on m’avait bandé les yeux, je devais deviner à qui était la queue qui jouissait dans ma gorge. Ensuite, pour me rincer la bouche, m’ont-ils dit, ...

... on m’a tendu un verre d’eau glacée, à boire d’un trait. C’était de la vodka !
— Wouah !
— Ça m’a foutu par terre, mais ça ne m’a pas découragé, au contraire ! Plus tard, je suis tombée amoureuse d’un gars. Le problème, c’est qu’arrivé le samedi, rien d’autre ne l’intéressait que de picoler, à ne plus pouvoir tenir debout. Pour partager ces moments avec lui, j’ai essayé de le suivre. Une vraie catastrophe ! Un matin, je me suis réveillée, ce n’était pas ma chambre, j’avais la tête qui tapait à devenir folle, la bouche pâteuse, incapable d’avaler un verre d’eau, j’étais à poil, du vomi sur moi, couverte de sperme séché de la tête aux cuisses, et je ne me souvenais de rien. Je me suis fait honte. De ce jour, je n’ai plus bu une goutte d’alcool, ça fait bientôt trois ans. Voilà, vous savez tout de moi.
— Je suis vraiment désolé, je ne savais pas que vous étiez sobre.
— Je vous pardonne si vous me parlez de vous… Comment êtes-vous devenu amateur de bière ?
— Ma première fois est banale. J’avais 15 ans et on devait voir un match au stade avec mon père et un de ses copains. On passe le covoiturer, au moment de repartir, je demande à mon père s’il y a des toilettes au stade. Il râle, m’explique que ça va être blindé de monde, que j’aurais pu y penser avant. Le copain intervient, me dit d’aller chez lui. Je rentre dans la maison, j’ai dû me tromper de porte, je me retrouve dans la cuisine devant la femme du copain, elle avait un verre de vin à la main. Je la regarde, elle me ...