Une petite Bud ? - Histoires de Sexe

Une petite Bud ?

... expérimentée… Tout pour me faire cracher rapidement. Quand elle sent les pulsations de ma queue, elle se retire.

— Venez sur mes seins, s’il vous plaît.

Je me fais un plaisir d’arroser ces deux monticules.

— L’an dernier, me dit-elle, je me suis payé une formation de dégustation de sperme. Pendant des années, j’avalais sans me poser de questions, alors que la salive noie le sperme et en diminue l’intensité. Avec la grille d’analyse que nous a donnée le formateur, j’ai appris à déguster différemment.
— Je suis curieux de découvrir cela.
— Tout d’abord, on juge la quantité. Pour vous, on peut parler d’une production abondante, ce ne sont pas deux misérables gouttes, j’ai eu droit à de belles giclées, mes seins sont bien recouverts.
— Vous avez une langue irrésistible.
— Ensuite, j’examine la couleur. Ici, c’est un laiteux qui tend vers le nacré, assez lumineux, puis j’apprécie la texture.

Elle se caresse la poitrine, rassemble le sperme, se frotte les doigts.

— C’est doux au toucher, onctueux, et aussi très glissant. Ce n’est pas de la flotte sans qualité de lubrification.
— Merci du compliment.
— Maintenant, l’odeur.

Elle approche les doigts de son nez.

— Il faut attendre un peu, laisser passer la première odeur. Je perçois chez vous une odeur très suave, un goût de piscine pas trop marqué, un arrière-parfum de noisettes, peut-être de champignons.
— Vous me faites découvrir des aspects de moi que j’ignorais.
— Et pour finir, le goût ! dit-elle en ...

... se suçant les doigts. Hum, le salé est très marqué, mais cela passe bien.
— En conclusion ?
— Un bon cru, j’aime bien.

Et avec ses doigts en forme de spatule, elle entreprend de ramasser le foutre pour le mettre en bouche. En quelques instants, elle a tout nettoyé.

— Excusez-moi, j’ai été un peu gourmande, j’aurais pu vous en proposer ?
— Une autre fois.
— Je vais encore abuser. Lors de la formation, on nous a rappelé qu’il reste souvent sous le gland, à la limite de la peau, quelques gouttes qu’il serait dommage de gâcher. L’animateur appelait cela le « Sot-l’y-laisse ».

En quelques coups de langue rapides, elle me nettoie le gland. À voir ses yeux, cela paraît goûteux, il faudra que j’essaye.

oooOOOooo

À la fin de la première journée du Congrès, nous nous retrouvons à l’hôtel pour un débriefing. Certaines conférences ont été passionnantes, des pistes de recherche prometteuses ont été décrites, les discussions d’intersessions ont conforté mes opinions. De son côté, elle est satisfaite de sa journée :

— Pendant les pauses, en naviguant de groupe en groupe, j’ai eu la confirmation qu’un gros coup se préparait chez TechGen. Par chance, j’ai réussi à me faire inviter ce midi par un des organisateurs du Congrès qui travaille justement comme consultant chez eux. Heureusement, la pipe ne l’a pas empêché de parler !

Si elle lui a montré les mêmes talents qu’avec moi, il a dû être bavard.

— J’ai bien bossé, me lance-t-elle, je pense avoir mérité une petite ...