1. La femme du garagiste


    Datte: 06/10/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: descollages, Source: Hds

    ... jouir j'en suis certaine ! Elle vous plaît ma petite chatte dites-moi ? Après me l'avoir dévoré, j'aimerais bien votre petite purée sur mes poils ! miaula-t-elle d'une voix suave.
    
    Le visage rouge, rempli de sueur, il secoua une dernière fois les hanches pour atteindre le grand frisson final.
    
    Étrangement le petit pénis rabougri, ne manqua pas de surprendre tout le monde. Un jet exceptionnel finit par gicler énergiquement jusqu'à la poitrine généreuse de la secrétaire, malgré la distance. Sûrement dû à la trop forte frustration accumulée, le foutre chaud venait de battre un petit record notable. Les deux mâles restèrent bouche-bée.
    
    – Eh ben mon vieux ! Il a encore du jus dans le poireau ! Allez Marlène, suce-le, il l'a bien mérité ! suggéra Tony, sur un ton compatissant.
    
    La secrétaire bienveillante se releva lentement pour saisir le pénis déjà mou. Elle le raviva de sa langue soyeuse, en émettant des bruits de succions accentués. Le gland flétri retrouva de légers signes de vigueur.
    
    – Alors Monsieur Jean, on dirait que Popol semble aimer les câlins ? dit-elle sur un ton rieur.
    
    Le pervers ainsi satisfait, ferma les yeux, pendant que la langue joueuse continuait de s'enrouler inlassablement sur le bourgeon décalotté, prodiguant des cajoleries digne d'une pute expérimentée. De son côté, la main manucurée, caressait les couilles plates et poilues, entraînant des décharges électriques voluptueuses, qui firent gémirent de plaisir le vieux cochon ébahi.
    
    – Mon ...
    ... Dieu, vous êtes vraiment faite pour la pipe, c'est incontestable ! murmura-t-il, les yeux dans le vague.
    
    Fini la bagatelle pour certains. Regardant subitement la pendule au fond du local, les deux mécanos s'habillèrent à toute vitesse. Il était déjà 13 h 45, autant dire qu'ils n'avaient plus qu'un petit quart d'heure pour reprendre des forces avant de retourner bosser.
    
    – Tu ne perds rien pour attendre Marlène chérie, la prochaine fois on te prend par les deux trous en même temps, crois-moi qu'on va te défoncer ! ronchonna Tony, pointant du doigt l'horloge.
    
    Restant sourde à ces derniers propos, la secrétaire était trop occupée à pomper le dard de Monsieur Jean. Il n'allait pas partir s'en cracher une dernière fois. C'était prendre un bien grand risque. Mais Marlène aimait la bite, surtout quand l'une d'elle se trouvait entre ses lèvres chaudes.
    
    Agitant sa tête d'avant en arrière, secouant sa jolie nuque, voilà notre fellatrice repartie de plus belle dans son exercice favori. Avec une véritable aisance, elle goba la totalité du membre viril devenu très dur. Elle était capable du plus beau des miracles, pour peu que son partenaire aie un peu de patience.
    
    – Préparez-vous, à une petite branlette ! lança-t-elle, tout en ouvrant grand la bouche, sortant sa langue rose au maximum.
    
    Sans serrer trop fort le petit pénis, elle fit des va-et-vient de bas en hauts, élégants, mais très rapides. La vision de l'appendice lingual ainsi sorti à l'extrême, n'avait d'autre but que ...
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