La femme du garagiste
Datte: 06/10/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: descollages, Source: Hds
... jambe sur l'accoudoir du fauteuil de bureau. Totalement détendue et offerte à ce vieux vicieux, son corps tout entier s'abandonna oubliant tout le reste. Monsieur Jean se régalait comme un animal. Il était loin le temps où il pouvait encore toucher son épouse Paulette, aujourd'hui victime de sécheresses vaginales irréversibles.
Voyant que la secrétaire commençait sérieusement à gémir bruyamment, il plaqua ses deux mains légèrement crochues pour tenir en respect les cuisses de la blonde nymphomane.
– Si vous continuez de bouger ainsi, je ne vais pas pouvoir vous lécher comme il faut ! grogna-t-il replongeant avec délice dans la fente abondamment lubrifiée.
Désormais son nez titillait le clitoris retourné à l'abri sous son capuchon de chair protectrice. Tournant la tête de droite à gauche à une vitesse phénoménale, sa langue en arc de cercle, lapait hardiment cette vulve savoureuse.
– Encore, Encore ! Ouuuui ! J'aime vos léchouilles de gros porc ! Faites-moi jouir ! Ouuui ! Oh, mon dieu Ouuuuuui ! Hurla-t-elle, se trémoussant ravagée par un orgasme foudroyant.
Satisfait de sa petite performance buccale, il savait qu'il fallait ralentir la cadence pendant la phase de récupération. Son front perlait de sueur, lui, qui n'avait pas quitter sa veste de costume en tweed.
Apaisée d'avoir pris son pied, Marlène le tira par la cravate pour l'obliger à se lever.
– Hum, petit coquin, venez m'embrassez vous l'avez bien mérité ! murmura-t-elle, les yeux ...
... brumeux.
Elle voulait à tour pris goûter sa propre mouille restée sur les lèvres de son bienfaiteur. Leurs langues jouèrent ensemble pour savourer la cyprine tiède mélangée au nectar féminin.
Mais juste au moment où les deux langues finirent par se séparer enfin, la porte du fond s'ouvrit brutalement. C'était Tony le chef d'atelier qui arrivait tenant dans sa main graisseuse, un devis à moitié plié.
Voyant ces deux-là, il ne tarda pas à comprendre ce qui venait de se passer.
La secrétaire à moitié débraillée, était encore la chatte ouverte, le visage empourpré de honte. Monsieur Jean, aurait voulu prendre la fuite, mais le store était à demi fermé. Pris sur le fait comme deux coupables ils restèrent figés quelques secondes.
– Alors pépère, on s'est bien amusé ! Je doute que tu aies réussi à lui grimper dessus à ton âge ! ricana-t-il, se rapprochant un peu.
Le mécano fixa Marlène un instant. Elle lui sourit lubriquement sachant pertinemment que son petit cunnilingus, n'était qu'une petite mise en bouche pour une suite beaucoup plus agitée. Son vagin palpitait déjà à l'avance, pressé de faire la conversation à un membre viril.
– Suis-moi grosse cochonne, on n'a pas beaucoup de temps devant nous ! Et toi aussi papy, j'aime bien quand quelqu'un nous mate, surtout un vicelard comme toi ! Siffla-t-il agrippant par le poignet la fausse-blonde entraînée sans résistance.
Les voilà dans le garage au milieu voitures en réparation. L'odeur du cambouis et des pneumatiques avait ...