1. La Salope de L'usine


    Datte: 06/10/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byLyliane, Source: Literotica

    Mes parents, m'ont proposé -pour me canaliser un peu- de me faire embaucher dans une usine de fabrication de gâteaux pour 6 mois. Selon eux, le travail me fera le plus grand bien. C'est un ami de mon père qui tient cette entreprise et il est d'accord pour me prendre. Pour être sûrs que j'accepte la proposition de travail, mes parents promettent de me payer le permis si je tiens dans l'usine pendant cette période de 6 mois et si le patron n'a pas à se plaindre de mon attitude.
    
    C'est mon premier jour de travail, et je sais que pour bosser à la chaîne dans l'usine nous devons porter une blouse. Je ne me suis donc pas embarrassé de trop de vêtements, je porte une jupe assez courte ainsi qu'un simple chemisier blanc et décolleté.
    
    J'ignore qu'au moment où je traverse le parking, le patron m'observe depuis la fenêtre de son bureau situé au premier étage. Je file aux vestiaires des femmes, passe ma blouse par-dessus mes fringues du jour. La journée se passe bien même si ce travail est plutôt monotone. Je suis à l'emballage, tout au bout de la chaîne : je dispose les gâteaux dans les cartons prévus à cet effet et je les ferme. Ce n'est pas très emballant si j'ose dire.
    
    C'est le soir, une sonnerie retentit dans le bâtiment pour indiquer que c'est l'heure d'arrêter le travail. Tout le monde se dirige vers les vestiaires. Je suis la dernière encore dans la salle principale et juste avant d'entrer à mon tour aux vestiaires, un secrétaire vient me voir discrètement pour me dire ...
    ... que le patron veut me voir. Je suis convoqué dès mon premier jour de travail et donc je suis forcément inquiète. Je retire ma blouse, prends mon sac et je pars vers l'escalier.
    
    Je monte les marches et frappe à la porte du bureau du boss. J'entends sa grosse voix me dire d'entrer. Je pénètre alors dans le bureau. Il me demande de fermer la porte et je le fais tout de suite. Il me regarde d'un air sévère et déclare alors : « Mademoiselle, vous vous croyez où ici? »
    
    — C'est-à-dire? Je ne comprend Monsieur, réponds-je, interloquée.
    
    — Cette façon de vous habiller!! Je vous ai vue arriver sur le parking ce matin! Ce n'est pas une discothèque ici, c'est un lieu de travail!
    
    — Mais oui, je sais, mais euh avec la blouse, on ne voit pas ce que je porte dessous, donc je pensais que ce n'était pas très grave, dis-je honteuse, la tête baissée.
    
    — C'est ça votre excuse pour être si peu vêtue quand vous venez au travail! Ce n'est pas un lupanar ici. Je m'en vais vous licencier sur-le-champ moi pour vous apprendre à vous tenir en public. Et je vais appeler vos parents pour leur expliquer tout ça!
    
    Honteuse et sachant que je vais me faire méchamment gronder par mes parents et que le permis de conduire va me passer sous le nez, je me mets à pleurer. Je me fais toute petite et je me sens pitoyable. Je n'arrive plus vraiment à parler. Mon patron me regarde et m'annonce alors :
    
    — Calme-toi (tiens, il me tutoie à présent), arrête de pleurer, je vais peut-être pouvoir te garder mais ...
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