1. Weekend à la montagne - Épisode 4 - Le réveil


    Datte: 19/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Primaq69, Source: Hds

    Weekend à la montagne - Épisode 4 - Le réveil
    
    Je me réveillais aussi reposé que frustré. J’étais allongé sur le côté, délicieusement coincé entre Pauline devant moi et Léa derrière. Ma main gauche compressait le sein de mon amoureuse, Léa avait la sienne collé sur ma cuisse, son bassin menaçant collé contre mes fesses et ma cage de chasteté entre celles de Pauline.
    
    Merde, ma cage de chasteté.
    
    C’est vrai que la douleur sourde qui m’avait réveillée était typique de cet engin de malheur.
    
    Lorsque Pauline et moi étions, rentré, j’étais dans un état de stress et de fatigue sans précédent. Je tenais à peine debout, j’étais sur le point de pleuré, vulnérable au possible. Les filles m’ont toutes les deux amenés à la douche. Pendant que Pauline faisait couler l’eau pour la faire chauffer, Léa m’a enfermé dans ma cage sans même que je m’en rende compte. Elles sont ensuite rentrées toutes les deux dans la grande douche à l’italienne en me tirant avec elles. A partir de là a commencé une grande session de caresses, de friction, d’embrassade, avec pour objectif de me réchauffer. Les deux filles s’activaient sur moi, leurs doigts parcourant chaque mètre carré de mon corps, leurs lèvres et leurs langues embrassant et léchant chaque parcelle de ma peau.
    
    Moi debout avec l’une collé dans mon dos et l’autre contre mon torse, moi assis sur le banc de pierre avec les deux à genoux devant moi. Leurs mains me savonnant délicatement, puis me massant doucement du plat de la paume, ...
    ... guidant une serviette éponge sur ma peau.
    
    Elles ne s’occupaient que de moi, était à la fois excessivement sensuelles et en même temps plus douces que sexuelles… Ma cage ne m’a pas contracté, la caresse de leurs corps et de leurs lèvres n’a pas été altérée par la douleur de la privation sexuelle. J’étais trop épuisé pour ça, j’ai donc pu profiter de cet acte comme elles l’avaient conçu : un moment de plaisir, de proximité, de chaleur.
    
    Lorsque nous nous sommes allongés dans le grand lit, c’est naturellement que je me suis retrouvé encadré par ces deux déesses pour sombrer dans le sommeil.
    
    Ce matin, par contre, c’était une autre paire de manche. Là, le coté sexuel de la situation, je le sentais bien bien. La privation, je la sentais mais alors bien bien bien. J’essayais de m’astreindre à ne pas bouger, me doutant que la situation risquait de fortement se dégrader pour moi si je réveillais mes douces psychopathes.
    
    Comme l’univers est un sacré farceur, c’est le moment que choisis Léa pour se réveiller. Elle resta cependant collée contre moi, bougea à peine, ne fit aucun son.
    
    Comment ? j’entends une question dans le fond de la salle, oui ? Comment je sais qu’elle était réveillée dans ce cas ? Excellente question !
    
    Mes tétons. Voilà comment je savais, mes tétons.
    
    Cette sadique avait à peine bougé pour s’assurer de ne pas réveiller Pauline elle-même, mais elle s’était mise à me tordre les tétons sans aucune pitié.
    
    J’ouvris la bouche dans une longue complainte ...
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