1. Périple en camping car 4 : Rencontres au Cap ferret


    Datte: 04/10/2024, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... la bite qui se redresse à nouveau. Je veux la sentir encore dans ma bouche.
    
    L’homme se laisse faire un moment et se régale de ma gorge profonde. Déjà, il rebande fort.
    
    - « Monte sur le lit ! Je vais te baiser salope ! »
    
    Je ne pense même pas à lui donner une capote. A genoux au bord de la couche je lui présente mon cul. Je suis tellement trempé que son gros gland n’a aucune difficulté à m’empaler. Je le sens quand même bien passer. Il écarte mes chairs sur son passage, mais c’est un plaisir.
    
    Bien planté en moi, il m’embroche d’un coup jusqu’aux couilles. Je ne suis plus qu’une poupée entre ses mains. La sodomie dure longtemps. Il est vrai qu’il s’est déjà vidé une fois. J’en profite pleinement. J’ai rarement été enculé aussi bien. Ce n’est pas douloureux et les sensations sont intenses.
    
    J’attrape ma bite et je me branle en même temps. L’homme s’en rend compte et m’intime l’ordre de ne pas me toucher. J’obéis. Je sens monter en moi un orgasme anal fabuleux. Sans rien faire, je râle, je crie et mon gland laisse échapper mon sperme en coulant. Cela dure longtemps, plus qu’un orgasme habituel
    
    Derrière moi, l’homme martèle mes fesses de son pubis à un rythme soutenu, m’apportant encore plus de plaisir. Enfin, il se raidit et je sens sa giclée en moi. Malgré la jouissance précédente, il m’en met encore une bonne dose qui remplit mon anus.
    
    Je m’effondre sur le lit, terrassé par un orgasme gigantesque. Ravagé. L’homme qui n’est pas au mieux, se couche sur ...
    ... moi, m’écrasant de tout son poids. Son corps est brûlant. Je suis bien.
    
    Il nous faut un moment pour nous remettre. Je sombre d’ailleurs dans le sommeil, mon homme repu à mes côtés.
    
    Quand je me réveille, il est étendu sur le dos, toujours endormi. Sa bite demi-molle est posée sur son ventre et . Je ne résiste pas au plaisir de la sucer. Elle sent mon cul et j’aime ça. Sous ma langue, elle se réveille lentement et grossit encore.
    
    - « Tu n’as en jamais assez toi ! Salope ! Tu vas me vider les couilles à ce rythme ! Mais dis-donc, tu es là pour un moment ?
    
    - Je n’ai pas de programme défini. Je parcours toute la côte et je m’arrête parfois plus longtemps.
    
    - Tu vas être ma femme pour la fin de la semaine, après je retourne à Paris.
    
    - Pas de problème, je suis à toi tant que tu veux !
    
    - Eh bien dis-donc toi, tu es une vraie salope !
    
    - Je ne le suis pas tout le temps. J’aime aussi les femmes, mais j’ai envie d’être ta pute.
    
    - T’inquiète ! Maintenant que je t’ai trouvé, je ne te lâche pas. Je n’ai pas souvent vu de pute comme toi. Tu vas m’héberger et je vais te baiser comme la salope que tu es ! C’est quoi ton nom ?
    
    - Jacques.
    
    - OK salope. Mois c’est Hervé, mais appelle moi monsieur.
    
    - Je pourrais dire maître ?
    
    - Si ça te fait plaisir, mais pas par mon prénom.
    
    - Bien maître ! Bien Monsieur !
    
    - J’ai faim ! Tu as quelque chose à manger ?
    
    - Je vais voir.
    
    - Tu restes à poil ici.
    
    - Aucun problème ! C’est comme ça que je suis toujours à ...
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