1. Périple en camping car 4 : Rencontres au Cap ferret


    Datte: 04/10/2024, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... gel.
    
    - Il est bien ouvert et ça rentre tout seul ! Je vais bien te baiser, j’ai bien l’intention d’en profiter ! »
    
    Bien planté en moi, Kevin me ramone en cadence, comme un métronome. Sa bite tape bien sur ma prostate. J’ai l’impression d’être prêt à jouir en permanence, pourtant rien de vient. C’est atroce et délicieux à la fois.
    
    Quand Kevin se penche pour changer de position, je tente de l’embrasser.
    
    - « Ça va pas non ? J’suis pas pédé moi pour embrasser un homme !
    
    - Ah non ? T’es pas pédé ? On appelle comment un homme qui en baise un autre ?
    
    - Toi t’es peut-être pédé, mais pas moi ! Je me fais pas enculer moi et je suce pas des bites !
    
    - Comme tu veux ! Alors baise-moi et fais le bien ! Fais-moi jouir !
    
    - Je m’en fous que tu jouisses ou pas ! Je suis là pour mon plaisir, pas pour le tien !
    
    - Heureusement que ton copain pense aussi de temps en temps à moi. Tu as vu tout à l’heure comment il m’a fait gicler ?
    
    - Tais-toi salope ! Hervé, viens ici et fourre-lui ta bite dans la gueule que je ne l’entende pas cette pute! »
    
    Mon « maître » ne se fait pas prier, il monte sur le lit, m’enjambe et pose ses fesses sur mon torse. Il me tend sa bite à sucer. Pour narguer l’autre, je lance « Elle sent mon cul et le sperme ! J’adore ! » C’est tout ce que je peux dire. Hervé enfonce sa bite dans ma bouche.
    
    Comme il a déjà juté tout à l’heure, Kevin est endurant et mon cul commence à me chauffer. Je n’ai rien à dire et de toute façon, je ne peux rien ...
    ... dire avec la queue d’Hervé qui remplit ma bouche.
    
    Le coït dure longtemps, trop longtemps pour moi. Hervé ne veut pas jouir dans ma bouche, aussi il se relève et se couche à mes côtés. Lui m’embrasse au grand dam de son copain. Ça a au moins un avantage, c’est que celui-ci accélère ses coups de queue et finit par jouir. Il s’écroule sur le côté, vidé pour le compte.
    
    Peu après, il nous laisse après avoir éclusé une autre bière. Il rote, sort et va pisser contre le mur des toilettes. Ça me rappelle la chanson « Amsterdam » de Jacques Brel.
    
    Je ferme à clé derrière lui, j'éteins la lumière au salon et je retourne au lit, où Hervé s’est endormi. Lui aussi sent la bière et va vite ronfler.
    
    Plus tard dans la nuit, à son habitude, il me réveille pour « tirer un coup » et se rendort.
    
    En partant dans la matinée, il m’annonce que le soir on ira faire la fête sur la plage avec des mecs. « On va passer une bonne soirée ! C’est la dernière avant mon départ ! »
    
    J’aurais préféré passer cette dernière nuit seul avec lui, mais je n’ai rien à dire contre sa volonté. Après tout, je ne suis que « sa salope, juste bonne à baiser et à remplir de foutre ! » dixit mon « maître »
    
    Je pars faire une balade avec Rocky. Moins longue que la veille, mais suffisante pour qu’il prenne plaisir. Baignade et repas sur la plage de la pointe tout au bout de la presqu’île et retour au camion. Je nourris Rocky qui s’installe pour la nuit et je file à la douche. Toilette soignée et intime, rasage ...
«12...111213...33»