La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1615) - Histoires de Sexe

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1615)

... veux dire qu’une fois expérimentée une soumise est moins intéressante ?, répond-t-elle sur un faux ton de vexation.

- L’intérêt n’est pas le même, l’enjeu de faire plier une novice, qu’il n’y a plus chez qu’une véritable soumise, est appréciable, mais une véritable soumise MDE apporte un plaisir incomparable, répond-t-il d’un ton aimant… Bien, tu comptes rester nue toute l’après-midi ou tu vas t’habiller, la taquine-t-il.

- Entre ces murs, ce n’est pas moi qui décide, je n’ai trouvé aucuns vêtements dans la salle de bain, j’en ai conclu que je devais rester ainsi.

- Va voir dans l’armoire, sourit Laurent.

Vanessa se dirige vers l’armoire, ouvre le côté contenant son uniforme et découvre de nombreuses autres tenues magnifiques. Elle envoie un regard interrogatif à Laurent.

- Un cadeau de Monsieur Le Marquis, ce sont des tenues que tu peux porter lorsque la femme est invitée entre Ses murs. Il les a choisi personnellement, tu peux sélectionner celle que tu souhaites.

Vanessa choisit une robe légère, au motif floral, moulant parfaitement sa taille fine, terminant à mi-cuisse, et au décolleté plongeant. Elle la passe et revient vers son compagnon pour l’embrasser. Il la prend par la taille, lui rend son baiser avec passion, puis lui sourit.

- Edouard va nous attendre, allons-y.

Les deux amants sortent de la chambre, Laurent s’arrête à la hauteur de soumise Candice, novice, qui patiente toujours à genoux dans le couloir. Il sort une chaîne d’argent de sa poche et la tend à Vanessa. Elle s’en saisit, accroche le mousqueton à l’anneau du collier de la jeune femme et tire doucement dessus pour lui faire comprendre de les suivre. Ils marchent dans les couloirs menant à la grande salle de réception, Vanessa tient la main de Laurent et dans l’autre la dragonne de la laisse. La jeune soumise Candice suit à quatre pattes dans une démarche maladroite pour laquelle on ne la reprend pas…

(A suivre…)