1. Ma voisine, quelle coquine !


    Datte: 02/10/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    Ces derniers temps, il était coutumier que je me trouvais dans le hall, nez à nez avec la voisine du troisième. Hasard ou non ? Je la trouvais toujours au même endroit. Appuyer sur les boites aux lettres son trousseau de clé en main. Néanmoins par pur politesse il m’était difficile de gravir les marches qui aller me mener jusqu’à chez moi sans avoir préalablement poussé la discutions avec elle. De choses banales, il est vrai.
    
    Mais ce soir, à la différence de la veille, et des jours précédent, je trouvais Monique transformée. Hormis qu’elle était vêtue comme si elle sortait, son attitude n’était pas dans son état normal. Elle semblait avoir tapé lourdement dans la bouteille. S’exprimant de façon syncopée. Quand elle avait voulu se déplacer, je constatais qu’elle avait du mal. Elle titubait. Je jugeais qu’elle était ivre. La femme se dirigea en titubant vers l’escalier, qu’elle entreprit de gravir en s’accrochant à la rampe. À mi-chemin, elle se tordit la cheville. L’instant d’après, elle dévalait les marches en poussant des cris de frayeur. Je me précipitais et offrit d’aider la malheureuse à se relever.
    
    -Rien de briser ? Lui envoyais-je.
    
    Je n’étais pas pressé de tendre la main à la femme. Absente, celle-ci ne s’était pas rendu compte que sa jupe soulevée dévoilait ses cuisses gainées de bas. La femme se releva péniblement, en grimaçant de douleur. Elle accepta avec une expression de reconnaissance le secours que je lui offrais. Pour l’aider à rejoindre son ...
    ... domicile, je lui pris le bras, que j’enroulais autour de mon cou. Une odeur de transpiration chatouillait mes narines. Jetant un coup d’œil de biais sous le bras que je soutenais, j’aperçus une auréole à hauteur de son aisselle. Je lui proposais mon aide pour la ramener jusqu’à chez elle.
    
    Mais alors quand gravissait les marches. Elle me confia qu’elle avait fêté l’anniversaire d’une collègue et que pour lui faire plaisir elle avait accepté de prendre des coupes de champagne. Mine de rien, elle était lourde et ne tenait pas sur ses guiboles. Arrivés devant sa porte, je lui pris des mains son trousseau, et déverrouiller l’accès. Une fois à l’intérieur, elle fonça s’affaler de tout son long sur le lit, puisqu’elle possédait un studio. Je pris un temps de réflexion pour savoir ce que je devais faire, alors qu’elle ne bougeait plus.
    
    Pris d’une envie perverse, je m’approchais d’elle. Lâchement, profitant de l’occasion, je posais ma main sur sa poitrine. Je sentis la pointe de son sein droit durcir sous ma paume. Retenant mon souffle, je guettais la réaction de l’endormie. Les yeux fermés, elle ne remuait même pas. Sans le léger mouvement qui agitait sa poitrine, on l’aurait crue morte. Encouragé, je déboutonnais les boutons du haut de son chemisier. Avec convoitise je palpais les seins, m’étonnant de leur consistance à la fois souple et ferme.
    
    Je frottais les bouts durcis, épais et longs qui ressemblaient à des doigts de nouveau né. D’instinct je les étirai. La seule réaction de ...
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