1. Le réveil d'un autiste: Tatiana et Violette 2


    Datte: 02/10/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... dans les vapes et plante tout d'un coup son défonce-cul entre les fesses de ma fille. Ce qui est en train de se passer sous mes yeux dépasse l’entendement, Narcisse est en train de la sodomiser, elle se fait enculer devant moi, ici, sur mon lit...décidément j'aurai tout connu et boirai la bouteille jusqu’à la lie...
    
    Violette hurle mais manifestement elle s'y était préparée et n'a qu’un léger mouvement de fuite, cela veut dire qu'elle savait consciemment ce qui l’attendait, quelle petite vicieuse. Je ne l'imaginais pas aussi perverse et me demande si moi aussi, je pourrais supporter à nouveau un tel supplice, me remémorant ma première expérience. Là, je vois de mes propres yeux cet énorme gourdin bouter les chairs de ma fille et disparaître dans ses entrailles ! Comment ai-je pu supporter ça ?!
    
    Je colle sa chatte gluante sur ma bouche et elle essaie de faire de même pour moi entre deux ruades de cet étalon exceptionnel. Je reçois directement les sécrétions mélangées de son coït récent dans ma bouche, j’étouffe mais me régale. Je suis vraiment une dépravée de me désaltérer du ...
    ... liquide qui suinte de la foufoune de ma fille, son odeur intime envahie mes narines. Mon dernier orgasme m’a rendu encore plus sensible. J’attrape avec autorité le sabre qui sort du fourreau de ma fille et le branle comme si ma vie en dépendait.
    
    -Laisse-moi te finir Narcisse, gicle pour moi, gicle !
    
    Alors le miracle se reproduit à nouveau. Je recueille le fruit de ses efforts dans la chatte et le cul de Violette, Il éjacule sur mes seins ainsi que dans ma bouche. Je bois son sperme comme une offrande, je lèche et avale comme je peux au fond de ma gorge les flots généreux qui jaillissent de sa lance que je m’étouffe avec et je dois vite sortir son chibre pour reprendre ma respiration.
    
    Pendant les deux heures qui ont suivies, nous n’avons pas été trop de deux chaudasses pour assouvir nos bas instincts de pouliches en chaleur. Quand l’une n’en pouvait plus, Narcisse s’occupait de l’autre sans faillir. Jamais je n’ai été tronchée si longtemps par un seul homme, qui en plus avait une autre vide-couilles sous la main, ou plutôt avec une chatte jamais rassasiée.
    
    A suivre… Les stagiaires. 
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