1. Tout sue le zizi...


    Datte: 19/07/2019, Catégories: Transexuels Auteur: Patrissia, Source: xHamster

    Peut-on écrire juste pour soi, sans imaginer un lecteur ou bien une lectrice, confortable dans son canapé, ses belles cuisses haut croisées, une bretelle qui a glissé découvrant le haut d'un sein, les lèvres humides entrouvertes par l'attention qu'elle porte au bouquin qu'elle tient négligemment entre ses mains...et pourquoi pas son trouble à la description de l'action?, ? Pour ma part c'est impossible. Il faut que je l'imagine mon lecteur androgyne, beau comme une fille,en train de malmener gentiment sa grosse bite rose ou son clitoris gonflé et humide, ou mouillant de plaisir comme si je lui parlais en temps réel, afin que mon texte soit la retranscription d'un dialogue en somme, et aussi parce que grâce à cette imagination je peux bander et mouiller ma chaise tout en écrivant et ça double mon plaisir. mais comment est-il cet interlocuteur? Est-ce un homme coincé qui veut en savoir plus? un type qui rêve d'avoir quelque chose dans le cul et qui n'a jamais eu qu'un balai? Une belle femboy sexy qui cherche une révélation? Un travesti qui s'enfile 30cm de gode et cherche les passages croustillants? Donc mon lecteur peut être une lectrice, ou l'inverse, mais dans mon imagination cette personne est belle, elle aime le sexe, elle aime mes écrits et donc elle m'aime. Alors pose à côté, sur un guéridon, ton nom, ton genre,tes fringues et garde ton cœur, ton corps, ton sexe, et offre moi ton attention comme je t'offre mon intimité et mes fantasmes à ne pas mettre entre toutes les ...
    ... mains et à ne pas raconter à toutes les oreilles.
    
    Déjà tout petit ...ah ah ah ah...NON! non, non, non, pas du tout je ne voulais pas de poupée... Petit j'étais comme tous les garçons petits, je suivais le modèle de mon père, et je tapais dans un ballon, j'allais à la pêche avec lui en me levant à 4h du matin. Je ne faisais pas attention aux poupées, ni aux fringues de filles, je voulais des trains électriques et des boites de "mecano" pour construire des grues et des bulldozers. J'aimais les Jeep de l'armée, et les gros GMC décapotables à six essieux, j'étais Buck John ou Opalong Cassidy, voire le chef Aigle Noir, et surtout Zorro...Je crois que ma sexualité s'était éveillée en temps opportun, vers l'âge de onze ans.Pendant les vacances d'été, un matin je jouais seul dans la cour de la maison familiale. C'était une grande cour de gravier fermée qui donnait sur la rue principale. Nous étions locataires, et j'aimais cette résidence de plein village, avec son immense verger, et ses greniers labyrinthiques qui excitaient mes fantasmes divers. bref, dans cette cour étaient plantés deux platanes centenaires comme dans les cours d'écoles ou les places de villages, et à la branche transversale de l'un d'eux, mon père avait fixé une balançoire, une corde à nœuds et une corde lisse. j'aimais bien la corde lisse, et donc ce matin là, j'avais entrepris une grimpette. Je me défiais régulièrement de grimper les quatre ou cinq mètres de la corde pour aller toucher l'énorme branche qui la ...
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