1. COLLECTION VENGEANCE. Ça se mange froid (1/1)


    Datte: 30/09/2024, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Comme l’on dit, la vengeance est un plat qui se mange froid.
    
    C’est comme ça qu’il est dit quand quelqu’un vous fait du mal et que vous avez décidé de vous venger.
    
    Je suis un gentil garçon, mais ce que je possède, c’est à moi et j’interdis à quiconque d’essayer de le toucher encore moins de me le prendre.
    
    Situation classique que j’ai vu des milliers de fois.
    
    Un ami semblant vouloir vous aider sans en avoir l’air d’y toucher, vous aide à mettre le fruit dans le ver.
    
    Voyez comme je suis troublé, bien sûr, c’est le ver dans le fruit.
    
    • Salut Jacques, j’ignorais qu’Isabelle ton épouse était très près de son cousin Christophe.
    
    • Tu m’assènes ces mots comme une affirmation, peux-tu m’en dire plus ?
    
    • Connais-tu le « gogo bar » dans la banlieue, je passais devant l’autre après midi et j’ai cru les voir sortir ?
    
    • Quel jour dis-tu ?
    
    • Mercredi.
    
    • Tu as dû te tromper, elle était chez sa mère, à faire un Scrabble à quatre avec des amies.
    
    • J’ai dû me tromper, je rentrais d’un gros contrat pour notre boîte où la tension avait été telle que j’étais un peu fatigué.
    
    Excuse d’avoir l’air d’insinuer que ta femme a une liaison avec son cousin.
    
    Voilà comment les choses démarrent, comme je le dis pour le ver.
    
    Vous vous refusez à croire que vous êtes cocu surtout avec Christophe, le fils de la sœur de la mère d’Isabelle.
    
    Certes, ils ont le même âge alors que j’ai dix ans de plus qu’elle, mais j’étais persuadé que je lui faisais une vie de ...
    ... rêve.
    
    Je suis chef d’entreprise, ma boîte marche du feu de Dieu et les dividendes de fin d’année nous permettent de vivre sans souci d’argent.
    
    Une semaine à Megève en hôtel haut de gamme et trois semaines en août souvent à l’étranger, voilà ce que je lui fais subir.
    
    Il y a pire.
    
    Isabelle m’a subjugé par sa beauté lorsque je l’ai vue, j'étais persuadé que c’était la femme de toute une vie.
    
    Blonde, 95 C pour la poitrine entièrement naturelle.
    
    Au lit, pas une pointure, mais moi aussi je suis loin d’être Rambo au plumard.
    
    Deux semaines, je tiens deux semaines avant de la suivre dans sa mini.
    
    Deux semaines avant de voir cette voiture prendre un tout autre chemin que celui de ses parents.
    
    Je commande mon portable par la voix.
    
    • Allo, belle-maman.
    
    • Jacques, que voulez-vous ?
    
    • Pouvoir parler à Isabelle.
    
    • Elle vient de m’appeler, elle aura du retard pour notre partie avec mes amis.
    
    Tu parles, « Gogo bar », elle met son clignotant et entre dans le parking.
    
    Deux cents mètres, un rond-point me permet de repasser devant le parking, pour aller m’arrêter un peu plus loin.
    
    J’y vois une voiture jaune des années 50, une 4L, je crois.
    
    Qui dans la région à la même voiture pourrie et d’une couleur si criante sinon Christophe le cousin de ma femme.
    
    J’ai rapidement la preuve de mon cocufiage, ils sortent du bar et s’engouffrent dans l’hôtel voisin.
    
    Le bordel et le baisodrome, la doublette pour adultère, le bar où tu la retrouves et la chambre où tu ...
«1234»