Le vieux concierge
Datte: 30/09/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Trixie, Source: Hds
C'était un samedi après-midi et l'anniversaire de Gérald, j'entrai dans le hall de son immeuble.
Je ne portais qu'une robe portefeuille turquoise courte et ample, ma cuisse gauche était assez dénudée, j'étais nue dessous. De fines bretelles soutenaient un décolleté qui découvrait mes seins, les deux pans croisés baillaient largement. Un vieil homme vraiment gros, hirsute, mal rasé, passait la serpillière. Ce devait être le concierge, je l'avais souvent vu en train de faire le ménage dans les parties communes.
— Bonjour Monsieur, savez-vous si Gérald est chez lui ? C'est son anniversaire aujourd'hui...
— Je ne suis pas payé pour renseigner, les petites Salopes qui vont se faire baiser chez le nègre ! Me répondit-il d'un ton acerbe.
Il se tenait près, des escaliers le sol était mouillé jusqu'à la première marche, je m'engageais sur les carreaux glissants, il me jeta un regard furieux.
— Vous pourriez respecter mon travail, et attendre que le sol soit sec avant d'y marcher dessus. Vous êtes pressée d'aller vous faire baiser ? Oh oui comme tous les noirs, il doit avoir une bite énorme !
Lorsque je passai à côté de lui, il enfonça son balai dans le seau violemment, de l'eau gicla sur ma jambe droite et éclaboussa le bas de ma robe.
— Vous pourriez faire attention dis-je !
Machinalement, j'écartais le pan, posai un pied sur la seconde marche de l'escalier, me penchait, cela ouvrit en grand le bas de ma robe, lui laissant apercevoir ma chatte, je me ...
... frottais la jambe pour éponger l'eau.
— Putain Salope ! Tu ne portes pas de culotte. Il va se régaler le nègre, éructa-t-il d'un ton méprisant.Je me demande ce qui vous attire chez eux !
Là, il me mit hors de moi, en colère, je montai l'escalier. Il me suivit des yeux.
— Eh bien, dit-il, d'ici j'ai une vue splendide, et comme on dit chez nous, c'est bien dommage de donner du lard au cochon !
Il m'exaspéra, il méritait une leçon. J'étais devant la porte de Gérald, elle n'était fermée, il était là. Je décidai de rendre fou de désir le vieil homme, et de le laisser sur sa faim. Je pouvais battre en retraite chez Gérald, s'il y avait un problème. Je fis demi-tour et je m'assis sur la dernière marche, l'escalier en comptait douze. Il était toujours en bas un pied sur la seconde marche, me fixant intensément.
Je le regardai en souriant, puis écartai les jambes, je frottai mon mollet comme pour en chasser l'eau savonneuse. Je levai la jambe droite, il avait une vue parfaite sur ma chatte. Je posai mon pied et écartai encore un peu mes jambes. Ma main remonta lentement le long de ma cuisse, et en une lente caresse glissa vers mon sexe. Mon majeur parcourut ma fente, écartant juste mes grandes lèvres. En souriant et le fixant dans les yeux, je décapuchonnai mon clitoris et le titillai avec mon ongle et le caressai en petits cercles concentriques.
Mes cuisses s'ouvrirent à nouveau, et mon majeur se faufila dans mon conduit vaginal, j'enfonçai plusieurs fois mes trois ...