La soirée - Histoires de Sexe

La soirée

... rien de plus. Je découvre le gland décalotté de mon ami, sur lequel son prépuce glisse à chaque mouvement.

Les filles nous regardent, bandés face à elles. Nous savons les uns et les autres qu’il n’est pas ici question de les rejoindre, mais nous participons à leur plaisir par notre excitation. Nous nous déshabillons aussi et nous installons à un mètre des filles, tout en nous caressant.

Le plaisir d’Alice semble monter très vite et, par une sorte de pudeur, elle semble s’arrêter au bord de l’orgasme.

Elle regarde Claire et l’embrasse comme pour goûter ainsi sa propre chatte.

Les rôles s’inversent et Alice commence à jouer entre les jambes de Claire.

Je connais le sexe de Claire et je partage les sensations d’Alice lorsqu’elle commence à goûter la chatte de ma copine. Le goût de son sexe est légèrement acidulé et j’aime m’y abandonner. Alice comprend vite le chemin du plaisir de Claire et tout en prenant son clitoris à pleine bouche, elle insère un doigt, puis deux dans la fente offerte.

Retournant sa main, je sens qu’elle cherche cette zone un peu rugueuse si sensible pour Claire.

Claire ferme les yeux et ne semble pas vouloir, elle, s’interrompre avant d’avoir joui.

Enserrant la tête d’Alice de ses jambes, Claire monte vers le plaisir.

Thomas et moi continuons de nous masturber. Cet interdit implicite de rejoindre les filles est délicieux. Nous ne sommes là que comme témoins de leurs plaisirs. Voyeurs.

Je ne peux m’empêcher d’admirer nos quatre ...

... corps dans le grand miroir du salon, « vivants piliers », dirait le poète. Ce lieu est un temple éphémère.

Les filles continuent leur jeu devant nous, désormais enlacées en soixante-neuf, tandis que Thomas et moi, à genoux devant elles, affichons nos sexes dressés, offrandes votives.

Nous sommes très proches, si bien que, voulant réajuster notre position, nous pivotons du buste l’un et l’autre et, ce faisant, nos deux queues dressées se croisent. J’ai déjà entendu parler des « sword fights », mais je n’ai jamais eu de tel jeu. La résistance de nos deux queues bandées l’une contre l’autre est tout à fait troublante. Cependant, trop surpris, nous n’avons ni l’un ni l’autre le temps de réagir.

Toucher ainsi mon ami, presque mon frère, est tout étrangement apaisant. Est-ce l’effet du pétard ? Je me sens en communion totale avec lui… avec elles.

Tout à leur jeu, Alice et Claire se découvrent, se lèchent, se goûtent et se mangent. Leurs deux corps, magnifiques, entrent peu à peu en résonance, ondulent et dansent l’un pour l’autre. Les vagues de plaisir montent et descendent.

Le corps de Claire, sous Alice, est pris de soubresauts, ses jambes s’ébattent, comme pour s’enfuir. Son pubis se tend vers la bouche d’Alice, cherche le contact, demande plus encore. Claire gémit, toute à sa jouissance. Toute la pièce semble à l’unisson de son plaisir.

Pendant que son corps s’agite encore, Alice maintient ses hanches et utilise cet appui pour se redresser. Je suis ému par son ...