1. Nos chemins de Damas


    Datte: 28/09/2024, Catégories: fh, jeunes, inconnu, hdomine, nopéné, fouetfesse, init, Humour initiatiq, Auteur: Feuille, Source: Revebebe

    ... mon téléphone n'eût aucun dommage. Mais cette préoccupation devint le cadet de mes soucis lorsque l’homme s'assit sur une chaise et me bascula brutalement sur ses genoux. Me sermonnant, il commença à me claquer sèchement le derrière. Il me rappela combien le respect et la bienséance étaient ô combien importants et il comptait sur une bonne leçon pour m’apprendre enfin les bonnes manières. Ma voix tirant vers les aigus tant à cause de la douleur que de l’indignation, je lui fis alors part de ma façon de penser :
    
    — Mais vous êtes malade ? Faut aller consulter, mon vieux !
    — Avant, je vais te guérir de ton insolence, Mademoiselle.
    
    Et mettant à exécution sa menace, il redoubla d’efforts. À ce moment-là, je remerciai le ciel d’avoir mis mon short le plus épais ce jour-là. Sa main frappait durement mon jean brut, alternant mes fesses droite et gauche. Gigotant vainement depuis le début de cette correction inattendue, je me débattis soudain franchement et tentai de protéger mon malheureux postérieur avec mes mains.
    
    En soupirant, il s’interrompit. Je pensais alors bien naïvement avoir remporté la bataille et je remuai de plus belle. Mais d’une main, il me saisit les poignets, les bloquant ainsi dans mon dos. M’étant crue momentanément sauvée, j’étais dépitée lorsque la fessée reprit. Et pour un jeune homme bien propre sur lui, ressemblant plus à un scout versaillais qu’à un autochtone, il y mettait une application bien insoupçonnable en d’autres circonstances.
    
    Sans ...
    ... doute fatigué et la main en feu, il me laissa le choix :
    
    — À présent, Mademoiselle, soit vous baissez vous-même votre short, soit je continue sur vos cuisses…, et se rapprochant de mon oreille, il me chuchota, narquois, et je vous préviens cela fait mal !
    — Allez vous faire foutre ! hurlais-je en tentant de me relever.
    — Comme vous voudrez !
    
    Et joignant le geste à la parole, il commença à s’attaquer à mes cuisses, m’expliquant que ma tenue était peu appropriée pour rentrer dans un édifice religieux, mais que je n’allais pas tarder à regretter mon choix vestimentaire. Malgré les claques qui n’avaient absolument rien d’une sinécure, je réussis à lui rétorquer qu’il avait une mentalité de vieux con réac et qu’il ferait mieux de sortir de temps en temps de sa campagne. Il tenta alors de masquer un rire discret en se vengeant sur ma chair. J’étouffai un cri, mais pas mon juron lorsqu’il visa la peau si sensible de l’intérieur des cuisses. Et ne résistant pas à une énième impertinence, je lui appris, cherchant à le choquer, que ce mini-short était ce que j’avais de plus long dans ma garde-robe. Mais loin de s’offusquer, il s’appliquait simplement à marquer mon épiderme qui commençait à chauffer sérieusement. M’ayant à l’usure, après une ixième claque, je rendis les armes.
    
    — Stop ! C’est bon, vous avez gagné.
    
    Ces mots m’arrachant littéralement la bouche avaient eu au moins le mérite de faire cesser mon supplice. Il m’aida à me relever, face à lui. Devant son sourire ...
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