1. "Le piège" (8)


    Datte: 19/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... grosses bites dans ton cul, pétasse de bourgeoise ?
    
    — On va t’enculer chacun notre tour, tu vas voir.
    
    — Je mouille comme tu peux t’en apercevoir ! Bon, j’ai envie de me faire prendre un peu ! Eh oui, je veux vos grosses queues dans tous mes trous de pute ! leur répondit fièrement ma charmante épouse ! "
    
    Cécile sans aucune pudeur, se baladait presque nue, la chatte à l’air, devant les trois goujats et répondait avec le sourire à toutes leurs allusions graveleuses. Où était donc passée la petite bourgeoise féministe bien éduquée et cultivée ? Je ne voyais de loin qu’une fille de joie, une fille à soudards... et c’était ma femme ! Entre dégoût et excitation, je voyais bien que le jeu allait beaucoup trop loin. Mais comment revenir en arrière et la tirer des griffes de ces malotrus, à qui elle allait se donner sans vergogne !
    
    Entre bouteilles de bière décapsulées et très vite bues, Cécile passait de main en main entre les trois hommes qui lui caressaient les cuisses, les fesses et le sexe. Chacun leur tour, ils la prenaient sur leurs genoux, la doigtant généreusement au passage. Alban qui buvait sa bière, lui fit ouvrir grande la bouche, après lui avoir roulé un palot bien baveux, et déversa dans son gosier une quantité de bière assez importante. Cécile ne buvait pas, ne supportait pas l’alcool, et je me disais que le résultat n’allait pas être beau à voir, entre l’ivresse et la surexcitation sexuelle qui s’était emparée d’elle.
    
    Ruiz l’avait prise sur lui et lui ...
    ... ayant ouvert bien grandes ses cuisses, et rabaissé la guêpière, avait une main qui pinçait les pointes des seins et l’autre, les doigts en plat de karaté, la limait joyeusement. Lucien lui, lui vidait des canettes de bière dans la gorge. Cécile jouissant, buvant, rigolant, avalait de travers et recrachait une partie du breuvage. Mais elle commençait déjà à perdre pied. Le gros Alban s’avança, ouvrit sa braguette et baissa son pantalon :
    
    — Allez, viens me sucer ma grosse queue, salope et t’avales tout comme hier !”
    
    La prenant par les cheveux, il la fit s’agenouiller devant lui, et sortant un sexe de fort belle facture au gland très épais, le fit pénétrer dans la bouche qu’il ouvrait de son autre main. La gorge fut si profonde que Cécile manqua de vomir, peut-être était-ce aussi dû à l’hygiène, plus que douteuse du malabar ! En tout cas, ayant récupéré son souffle, les deux mains sur le braquemart, ma femme suçait le gros porc avec application...
    
    La scène était vraiment obscène, mais au-delà du dégoût qu’elle m’inspirait, l’excitation sexuelle était là. Je ne pouvais me mentir à moi même, je prenais plaisir à la scène de l’avilissement sexuel de mon épouse. La honte n’était pas plus intense que l’érection monstrueuse, qui déformait mon pantalon et m’obligea à sortir ma verge, que je commençai à masturber... en un sens, j’avais envie de participer à la curée, et avilir encore un peu plus ma femme, en même temps que les trois malotrus.
    
    Je sentais que ma femme, sous peu, ...