1. Mélanie, Cécile et moi-même.


    Datte: 07/03/2018, Catégories: ffh, copains, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, Oral fgode, fdanus, fsodo, couple+f, Auteur: Cymon, Source: Revebebe

    ... prit.
    
    J’avais conscience que mon désir était bien trop fort pour tenir et que mes deux acolytes n’avaient pas eu pleinement satisfaction. Je me servis une bière bien fraîche et me hâtai de les rejoindre dans la chambre de Mélanie. Le spectacle qui m’était offert alla au-delà de mes espoirs. Ma femme était à quatre pattes sur le lit, la tête enfoncée entre les coudes et gémissante, haletante, animée de va-et-vient dont l’origine ne faisait aucun doute. Mélanie enfonçait assez énergiquement un gode dans chaque orifice de Cécile. Elle semblait offerte aux envies les plus perverses de son amie.
    
    — T’aimes ça ! lui dit Mélanie. T’aimes ça !
    — Oui, vas y. Baise-moi ! Encule-moi !
    
    J’étais abasourdi. Jamais ma femme ne me demandait aussi clairement de la sauter lorsque nous faisions l’amour, c’était plutôt par des gestes, des sourires. Je la sodomisais régulièrement, elle aime beaucoup ça, mais jamais elle ne me disait de l’enculer de vive voix.
    
    — T’aimes ça, de faire enculer devant ton homme ! Il est là, il te regarde.
    
    Mélanie me sourit en continua de plus belle. Cécile exulta. Moi, je ne tins plus.
    
    — Branle-toi et viens, Adrien, je veux que tu me prennes. Viens me baiser comme une salope !
    
    Je m’approchai, le sexe en avant. Elle me le prit et commença une fellation désordonnée tant elle était bousculée par les godes de Mélanie. Mon sexe allait par moment au plus profond de sa gorge. Je regardai Mélanie qui souriait en enfonçant ...
    ... les godes. De temps en temps, elle alternait, une langue, un gode, puis laissait couler des filets de salive sur les fesses de ma femme.
    
    — Vas-y, vas-y, n’arrêta pas de gémir Cécile, la bouche pleine de mon sexe.
    
    Brusquement, je sortis de la gorge de ma femme et me mis derrière elle. Mélanie s’était allongée sous Cécile. J’enfonçai mon sexe sans retenue, bien au fond de ses fesses.
    
    — T’aimes ça… T’aimes ça quand je t’encule.
    — Claque-moi le cul ! Mets-moi des fessées, vas-y, n’hésite pas !
    
    Je lui claquai les fesses et, à chaque fois, je ressentis un plaisir incroyable. Je la claquai comme on claque la croupe d’un cheval. Elle était soumise, prête à tous les délires.
    
    — Crache-moi dessus, tire-moi les cheveux, prends-moi comme une pute.
    
    Elle se mit à jouir dans un cri rauque que je ne lui connaissais pas. Mélanie nous regarda en malaxant les seins de Cécile. Elle lui lécha le visage qui n’était plus qu’un mélange de sueur et de salive… À mon tour, je jouis. Je jouis si fort que j’en ai eu mal au sexe. Mais le plaisir était si bon…
    
    Puis le calme. Tous les trois allongés sur le lit de Mélanie. Je crois qu’à ce moment-là, nous nous sommes endormis, fatigués d’avoir baisé, fatigués d’avoir donné libre court à nos pulsions si souvent retenues. Le réveil fut des plus sages, et nous ne reparlâmes pas de ce qui c’était passé.
    
    Depuis maintenant quelques jours, Mélanie s’est amourachée d’un pote. J’ai hâte de les aider à déménager. 
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