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Complices
Datte: 23/09/2024, Catégories: fh, couple, vacances, campagne, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Oral poésie, occasion, Auteur: LittleGabrielle, Source: Revebebe
Je portais ce jour-là une petite jupe bleue. Dans le pré, il m’a bandé les yeux, et d’un petit foulard soyeux m’a attaché les mains dans le dos, sans serrer pour ne pas que j’aie peur. Il a commencé par m’embrasser tout doucement sur le front, puis ses baisers ont lentement glissé vers le creux de mon cou jusqu’à ce que sa bouche rencontre ma bouche, que ses lèvres épousent tendrement les miennes et que nos langues s’unissent dans une valse sensuelle dont ni l’un ni l’autre n’étions capables de compter les temps. Sa main timide et gauche a entrepris de défaire mon corsage, dévoilant, bouton après bouton, la peau frissonnante de désir de ma poitrine et de mon ventre ondulant sous ses caresses. Ses lèvres ont glissé jusqu’à mes petits seins frémissants dont les pointes durcies et tendues s’abandonnaient tendrement au rythme de la danse et des pincements de sa bouche chaude. Je sentais ma respiration s’accélérer, mon cœur s’affoler, tout mon corps trembler d’une envie folle qu’il me fasse sienne. Sa main a glissé lentement le long de mon dos puis, toute hardie, s’est aventurée, caressante, sous ma jupe pour effleurer la peau de mes petites fesses. La jupe a glissé dans un bruit mat et soyeux, il m’a couchée sur le dos, presque nue dans l’herbe, ne portant plus sur moi qu’un tout petit ...
... confetti de coton blanc. Il a pris mon petit pied dans sa main, l’a porté à sa bouche pour l’un après l’autre aspirer mes doigts entre ses lèvres. Fébrile, n’ayant d’autre choix que de me laisser faire sans que je puisse le voir, je sombrais dans la torpeur délicieuse d’une douce chaleur intime et fiévreuse dont je sentais la moiteur faire gonfler et s’ouvrir les lèvres de ma fente pleine des miels de mon excitation. . Sa langue chaude lentement est remontée le long de mes mollets frissonnants pour se glisser sur l’intérieur de mes cuisses, avant de s’aventurer au creux de mes reins en dessinant la lisière de ma petite culotte qui, sans résistance, à son tour a glissé le long de mes jambes. Il m’a soulevée en me tenant par les fesses, et sa langue a plongé dans mon sexe tout mouillé d’excitation, je cambrais les reins sous les assauts de sa bouche. Le souffle court, je serrais les cuisses comme pour l’empêcher de se dérober et pour le garder au plus profond de mon intimité, jusqu’à ce que, dans des gémissements sauvages, je jouisse avant de relâcher mon étreinte. Il m’a détaché les mains, ôté mon bandeau, nous nous sommes regardés sans rien avoir besoin de se dire de plus que ce qu’exprimaient nos yeux, Il m’a prise dans ses bras, j’ai posé ma tête sur son épaule et, complices, nous avons ri…
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