Marlène, rencontre avec un travesti 7 Lingerie fine
Datte: 22/09/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... a pas de mal. Votre… mari ? Si ce n’est pas indiscret.
- Malheureusement, oui !
- Malheureusement ?
- Il est… décédé l’an dernier et…- Vous êtes en manque !
- C’est.. cela, oui.
- Ma pauvre.
- Oui. Surtout qu’à mon âge…- Mais vous êtes encore jeune et vous pourriez…- J’ai… soixante dix ans !
- C’est pas vrai ! Je vous en donne bien dix de moins !
- Merci vous êtes gentil.
- Je suis sincère ! Regarde soumise. Cette femme a vingt ans de plus que toi et son statut de soumise l’a fort bien conservée !
- Je… enfin… Je vous ai menti. J’en ai soixante treize !
- Magnifique ! Franchement, j’espère que vous trouverez un heureux homme pour vous accompagner !
- Vous pensez ?
- J’en suis sûr ! Je ne suis qu’un débutant en matière de domination. C’est d’ailleurs notre première sortie en tant que tels. Nous sommes tous les deux en… apprentissage, mais en tant que femme… si…- Vous ne voudriez pas vous occuper de moi ?
- Ouh là ! Je crains que vous ne soyez beaucoup plus au fait que moi en la matière !
- Vous savez, dans ce genre de relation, ce n’est pas toujours le maître qui mène la danse. Souvent, la soumise est demandeuse. Au début, avec mon mari, nous nous sommes connus quand je n’avais pas vingt ans et c’est moi qui l’ai amené à me soumettre. Pour notre bonheur, cela a duré plus de cinquante ans ! C’est moi qui lui ai demandé de me tatouer à son nom. C’est moi qui lui ai demandé de me percer les seins et d’y fixer des anneaux, comme pour ...
... mes lèvres intimes. Vous voulez voir ?
-Je... »Prestement, la femme enlève son corsage sous lequel elle est nue. Ses seins magnifiques et qui tiennent encore bien, portent effectivement des anneaux. « Il m’y attachait une chaîne ou des poids. Il me les fouettait, C’est sûrement pour ça qu’ils sont encore fermes. » Elle dégrafe sa jupe en cuir. Là aussi, elle est nue. Elle porte des bas auto-fixants et des anneaux pendent à ses lèvres intimes. Sur le bas ventre un tatouage. Deux initiales entrelacées. Elle se tourne et sur une fesse, un autre, avec une date. « C’est après m’avoir sodomisée la première fois. Le premier juillet 1952 ! Laissez-moi faire !»Elle s’agenouille devant moi, ouvre mon pantalon et sort ma bite déjà tendue. « Il me semblait bien que vous bandiez coquin ! » Elle l’avale et me prodigue une fellation d’anthologie, sous les yeux ébahis d’Anne Marie. Quand elle a obtenu une bonne érection, elle se relève, se penche sur le comptoir et demande « Prenez-moi comme une chienne ! Je suis trempée ! Prenez-moi par le cul ! »Comment refuser une telle offrande ? Je me guide sur son œillet et sans effort, je l’encule. A nos côtés, Anne Marie se branle sans vergogne. Il faut peu de temps à la femelle en manque, pour feuler et demander «Encore ! Plus fort ! » Je ne la ménage pas et nous atteignons l’orgasme quasi en même temps.
Une fois le calme revenu, la femme reste nue. Elle se met même en position jambes écartées, mains derrière la tête. Splendide femelle malgré ...