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D'aspirant à salope (8)
Datte: 18/07/2019, Catégories: Transexuels Auteur: willaspi, Source: Xstory
... facilement. Je découvre avec surprise que je lubrifie mon orifice. Le doigt rentre doucement et coulisse. Il est coincé par le collant. Vite je le baisse à mi-cuisse et le majeur rejoint mon intimité. Il reprend sa progression. Il entre plus loin, encore plus loin.............. non....... je jouis. J’aurais voulu que ça dure longtemps et je génère encore une frustration. J’enlève tout et me couche nu. Demain une nouvelle semaine commence. Je ne sais pas ce qu’elle me réserve. Rapport de 7h30 à l’heure, je prends mes ordres de la journée et gagne mon bureau afin de planifier l’organisation de mon service. Je suis en treillis rangers mais je n’ai pas pu résister à l’envie et j’ai mis le string de bain. Je l’ai mis par envie et parce qu’inconsciemment j’ai envie de provoquer quelque chose avec mon supérieur. Je n’ai toujours pas vu le capitaine qui est absent ce matin. En début d’après-midi, j’entends sa voix dans le couloir. Ce son et ce timbre me donnent un coup dans le ventre. J’ai chaud. J’ai les mains moites. Je ressens davantage le tissu du string sur mon anus. Je suis chamboulé par la voix d’un homme. J’ai envie de le voir, j’ai envie de lui parler, j’ai envie de... La porte du couloir s’ouvre, il ne passe jamais par-là d’habitude mais par la porte communicante de nos bureaux. Je me mets au garde-à-vous — Mes respects mon capitaine — Bonjour Martin, tu as passé un bon week-end — Oui mon capitaine — Content d’être rentré — Oh ouiiiiii...... ...
... mon capitaine Je n’ai pas réussi à me retenir sur le oui. Je suis tellement soulagé d’être là et de porter ces cadeaux et plus encore de le voir à mes côtés. Il sourit à ma réponse et sort du bureau. Je retombe sur mon fauteuil désemparé. Il n’est pas venu dans mon dos, il ne m’a pas senti, il ne m’a pas fait d’allusion graveleuse, il n’a pas parlé de moi au féminin. J’en veux plus, je suis rentré euphorique en voulant vivre d’autre chose et rien. Putain, reprend toi, tu joues à quoi. On dirait une adolescente amoureuse de son prof. Je reprends mon boulot et essaye d’évacuer tout cela de mon esprit. Je finis ma journée et rejoins ma chambre sans rien de plus. Je rentre et enfile rapidement la lingerie rouge avec les dim up, les talons et la perruque. Je me mets devant le miroir. Les traits de mon visage sont fins et j’ai des pommettes hautes. J’ai des grands yeux verre et une bouche bien dessinée avec des lèvres un peu trop grosses à mon goût. Cela m’a valu des remarques de mes camardes de classes pendant mon adolescence. Mais à présent ce visage encerclé de cette perruque au carré me plait. Je pense qu’il manque juste de maquillage. Je viens de penser à me maquiller. Il me faut un psychologue très vite, je plonge dans la folie. Et tout cela à cause d’un cadeau de lingerie, d’allusion douteuse et d’un moment d’égarement au mess. En parlant de cela j’ai faim. Je garde tout sur moi à part la perruque et les talons, j’enfile une tenue de sport et je vais au mess, ...