1. Dîner en ville, same player shoots again


    Datte: 22/09/2024, Catégories: fh, cadeau, Collègues / Travail hotel, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, rencontre, Auteur: Conteurreveur, Source: Revebebe

    ... seule poussée jusqu’à la garde tant son sexe est ouvert et accueillant. Collé contre elle, nos bouches soudées, je vais et je viens en elle avec de longs et amples mouvements. Je vois renaître le plaisir dans ses yeux et cela m’encourage à prendre plus d’initiatives. J’attrape ses jambes pour caler ses mollets sur mes épaules. Ainsi offerte, la pénétration est très profonde et je perds en délicatesse pour monter en puissance et pénétrer sauvagement Sandrine, lui arrachant un petit cri à chacune de mes poussées. Mon bassin claque sur ses fesses, sa bouche est déformée par le plaisir. Je me sens fort, j’ai envie de la défoncer, mais je sens que mon plaisir monte vite, un peu trop vite.
    
    — Tu veux revenir me chevaucher comme tout à l’heure ?
    — Plutôt deux fois qu’une.
    
    Nous roulons sur le lit et comme trois heures plus tôt, Sandrine commence une longue cavalcade sur mon sexe. Elle est plus en maîtrise que précédemment, probablement moins submergée par un plaisir incontrôlable trop longtemps réfréné. On se regarde, on se sourit, on est en phase. Elle ne me baise pas comme tout à l’heure. On fait l’amour, ensemble. Et c’est bon, le plaisir est là et remonte vite aussi. Je décide de jouer un peu et caresse ses fesses, je glisse un doigt fureteur le long de sa raie et le pose sur son anus. Il est encore humide de mes caresses buccales et de son excitation. J’insiste, je titille, je pénètre son fondement d’abord doucement puis au même rythme que Sandrine s’empale sur mon sexe. ...
    ... Elle me regarde avec un sourire coquin.
    
    — Tu veux ? lui demandé-je
    — Oui, j’ai envie. Sous tous les angles… en me gratifiant d’un clin d’œil.
    
    Sandrine me libère de son étreinte et je passe derrière elle. J’admire ses belles fesses, encore fermes, et sa chute de reins parfaite. Je salive sur son œillet et masse délicatement avec mon pouce pour l’assouplir encore plus. Puis je présente mon gland à l’entrée de son fondement. La pénétration est moins aisée et je prends mon temps. Je laisse aussi le temps à Sandrine de s’habituer à ma largeur. Elle souffle, ahane, mais m’encourage à poursuivre. Sandrine a glissé une main sous elle et caresse son clitoris. Je commence de petits va-et-vient et Sandrine se détend et s’habitue au fur et à mesure. Je resalive à nouveau pour lubrifier mon bâton de chair et j’amplifie mes mouvements en m’agrippant aux hanches de Sandrine. Elle prend son pied et comme pour l’anulingus m’encourage encore avec des mots très directs.
    
    — Vas-y, c’est bon, tu peux accélérer. Prends-moi complètement.
    
    Ces paroles sont telle une mèche de dynamite dans mon cerveau et excité par le contexte et l’ensemble de la soirée, je perds toute réserve. De nouveau, je me sens fort et de nouveau j’ai envie de la défoncer. Je tiens fermement ses hanches et j’accélère franchement. Sandrine se caresse frénétiquement et s’agite sous moi. Elle tremble, se contorsionne et pousse un râle de jouissance presque guttural. C’en est trop pour moi, je sors de son anus, retire mon ...
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