1. Nuit câline, matin joyeux


    Datte: 21/09/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, ffontaine, Masturbation intermast, Oral 69, fdanus, uro, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... Bénédicte boit ma mouille, j’enfonce mon doigt. Toutes les phalanges, ça y est, je vais jouir.
    
    — Stop ! Sors-le.
    
    J’obéis. Je râle de frustration, mais j’obéis.
    
    Les lèvres de Bénédicte sucent mon index, les lèvres de Bénédicte embrassent ma chatte, les lèvres de Bénédicte mélangent mes sucs, les lèvres de Bénédicte caressent mon périnée, les lèvres de Bénédicte ventousent mon cul, les lèvres de Bénédicte collent à mon con, les lèvres de Bénédicte gobent mon bouton… Je crie, je pleure, je jute, je me donne en spectacle, mais oui, je jouis, je jouis ! Enfin !!
    
    — Tu as bon goût, ma Chantal. Donne-moi encore ta mouille.
    
    Mon nez sur le pubis de Bénédicte. Mon nez sur la peau nue de Bénédicte. Mon nez dans l’odeur de Bénédicte. Mon nez dans le jus de Bénédicte. Je ne pense pas à la remercier, je n’en ai pas la force. Je coule en respirant ses effluves et mon ventre se calme.
    
    Je relève ma tête. Je reprends ma respiration. J’aperçois le lit voisin. Les cheveux de Janine ondulent entre les cuisses de Martine. Je repose ma tête sur le ventre de Bénédicte. Ses jambes se replient et m’exposent leur fourche ouverte.
    
    — Mange-moi, ma chérie. Bouffe-moi la chatte !
    
    Je n’ai pas besoin d’obéir. Je suis déjà dessus, rivée à la vision qu’elle m’offre.
    
    Le petit clito de Bénédicte s’exhibe autant qu’il le peut. Sa vulve lisse a perdu toute discrétion ses lèvres s’épanouissent en corolle, ses nymphes s’érigent en pétales, des fragrances d’agrumes mêlées de vieille ...
    ... pisse s’échappent de la fleur éclose. Son calice élargi révèle un puits de chair rose vif où affleure un nectar de cyprine qui déborde à chaque contraction spasmodique du vagin. Le mont de Vénus et le périnée sont déjà couverts de cette profusion surprenante dont l’œillet a pris sa part et dans laquelle je noie enfin ma bouche.
    
    C’est presque aussi frustrant que lorsqu’elle retardait ma jouissance. La sienne survient au bout de quelques léchouilles à peine. Son bassin me saute à la figure en même temps qu’un long jet m’éclabousse. Il manque m’étouffer et je recule de surprise. Mais c’est pour mieux revenir à la source, joindre mes lèvres à la fontaine, boire les dernières résurgences et en aspirer les ultimes gouttes. Je creuse mes joues au rythme des plaintes de plaisir précipitées de Bénédicte. Je ne lâche ma proie que lorsque cris et chatte se tarissent. Ses cuisses sont trempées, le drap est trempé, et mon visage aussi.
    
    Curieux sentiment de vide, étrange sensation de fesses libres… Je ne comprends qu’après coup que Bénédicte était agrippée à mon cul et vissée à mon con pendant tout le temps que je pompais sa mouille. Je bascule sur le côté, elle se retourne. Nos bouches se retrouvent et nous mélangeons nos saveurs. Quatre têtes ravies nous contemplent, des mains fourragent sur les chattes et sous les culottes. Une petite pause s’impose.
    
    Si les lits sont humides et froissés, c’est de nos prouesses. Aucune de nous ne songe à s’en plaindre. Le silence s’installe, les ...
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