Nuit câline, matin joyeux
Datte: 21/09/2024,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
fdanus,
uro,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... écarter lentement. C’est ce contact qui l’a fait réagir.
— Oh non, Chantal, s’il vous plaît…
— Chuut ! Ne t’inquiète pas. Nous nous connaissons bien, toutes les deux, non ?
Mon sourire l’avait un peu détendue. L’évocation de notre première rencontre où elle avait découvert ma chatte écartelée comme j’avais vu la sienne écarquillée, a achevé de la rasséréner. J’ai délicatement rincé et séché son minou, en évitant autant que possible que cela ressemble à des caresses pour ne pas raviver son trouble. Et j’en suis restée là.
— Tu peux continuer toi-même, ma puce.
Ce qu’elle a fait docilement, sans regarder personne et sans oublier de coincer le cordon à sa place pour terminer. Sa respiration est redevenue normale. Elle était visiblement soulagée d’en avoir fini.
— Dis-moi, Chantal, est alors intervenu Andréa. Tu dois bien aimer les fessées pour te permettre d’agir sans en avoir la permission !
— Mon cul est à vous, ma Reine. Voulez-vous me fesser maintenant ?
— Je verrai ça demain. J’ai trop envie de profiter de Colette ! Les filles, a-t-elle poursuivi, une culotte et au dodo ! Vous coucherez ensemble puisque vous vous réglez l’une sur l’autre… Martine, j’espère que Janine suffira seule à ton bonheur, et je compte sur toi pour surveiller son abstinence.
— Tu seras toute à moi, ma chérie, rien qu’à moi, m’a glissé dans l’oreille Bénédicte.
— Il est tard, a conclu Andréa en prenant Colette par la taille. Tout le monde au lit !
Et trois couples enlacés les ont ...
... suivies à l’étage.
Le dortoir est si calme qu’on le dirait vide. Enfin, je dis dortoir parce qu’il y a quatre lits, deux larges et deux singles. C’est la « chambre d’amies » de Colette. C’est aussi son Donjon. Les décorations et l’ameublement de cette vaste salle ont fait frémir plus d’une de celles qu’elle y accueille, et moi-même en les découvrant je n’étais pas à l’aise.
Le dortoir est donc silencieux, nous sommes fatiguées. Les orgasmes du jour ont alangui nos corps, nos esprits sont vidés comme nos chattes lasses. Nous nous reposons nues, deux par deux, côte à côte, et nos poitrines seules montrent encore quelque trouble. Ici, Béné et moi, là-bas, Martine et Janine, aucune n’ose entreprendre un geste licencieux. Plus loin, Anaïs et Marie, benoîtement serrées sur leur étroite couche, discutent à voix basse, s’échangeant des aveux sur les petits tracas qui tourmentent leurs ventres.
De plainte en confidence, leurs bouches se rapprochent. Sans doute pensent t’elles que la douceur des lèvres calmerait les ardeurs que met Dame Nature à rappeler ses droits. Un baiser, puis un autre, et les voilà qui passent de propos échangés à caresses données. Après tout, il n’y a que le bas-ventre qui leur soit douloureux. Pour leurs seins ou leurs fesses, elles peuvent espérer des cajoleries tendres ou des câlineries un peu plus appuyées. Tête contre poitrine et doigt dans le sillon, l’une mignote l’autre et l’autre le lui rend. Leurs culottes, demain, seront en bel état !
Une ...